SOFT-HISTOIRE-SPORTIF SEXY-ÉROTIQUE-BIO

Vendredi 20 janvier 5 20 /01 /Jan 13:36

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Dimanche 8 janvier 7 08 /01 /Jan 22:25

Deux hommes se rencontrent dans un club libertin, et c'est un coup de foudre : ils apprennent à se connaître dans les premières heures matinales, se reconnaissent que l'un est séropositif et l'autre ne met pas de préservatif.

Réalisation Olivier Ducastel et Jacques Martineau
Scénario Olivier Ducastel et Jacques Martineau
Acteurs principaux: Geoffrey Couët, François Nambot
Pays d’origine France
Genre drame romantique
Durée 97 minutes
Sortie 2016
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Dimanche 8 janvier 7 08 /01 /Jan 16:59
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Vendredi 23 décembre 5 23 /12 /Déc 00:49
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Dimanche 27 novembre 7 27 /11 /Nov 22:35
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Dimanche 27 novembre 7 27 /11 /Nov 21:55
Bonne soirée avec deux lascars.
Salut, moi c'est Lila. J'ai 18 ans et j'ai copain qui a 19 ans. Il s'appelle Sam. On se connaît depuis 1 an et demi et on couche ensemble depuis 1 an. C'est le deuxième mec avec qui j'ai couché après un moniteur de ski en classe de neige quand j'avais 16 ans. Ce que j'aime avec Sam c'est qu'il est très doux avec moi. Je le suce mais je n'avais jamais avalé.
Il y a 3 semaines à une fête chez des potes on a rencontré Abdel. C'est un mec super sympa, mais assez macho et je dois dire que ça m'a pas mal émoustillée de me faire un peu draguer par lui. Il ne se gênait pas pour danser collé/serré avec moi-même s'il savait que j'étais avec Sam. D'ailleurs il a beaucoup discuté avec mon mec et le courant passait super bien entre eux.
On s'est revu la semaine suivante et Abdel nous a emmené chez des copains à lui. La soirée était très cool. On a pas mal bu et Maurice, le meilleur pote d'Abdel, m'a aussi draguée gentiment. C'est un super beau black et je dois dire que j'étais assez excitée en rentrant et que j'ai déshabillé Sam dans l'ascenseur avant de lui sauter dessus une fois dans ma chambre.
Samedi dernier, mes parents étaient partis en WE et Sam a proposé qu'on invite Abdel et Maurice pour un dîner sympa. J'étais très contente. J'ai préparé à manger, on a sorti une bouteille de la cave de mon père et la soirée a bien commencé. On rigolait beaucoup et l'ambiance était assez chaude. Après le dîner on a dansé un peu dans le salon et comme j'étais la seule fille je dansais avec les trois l'un après l'autre. A un moment Sam a mis un slow et j'étais en train de danser avec Maurice. Il m'a enlacé et pressé contre lui. Je sentais un gros truc me frotter entre les jambes et ça m'a excitée encore plus.
Abdel a alors proposé un strip-poker. Sans réfléchir j'ai dis "super" et on a commencé. On avait sorti une autre bouteille de vin et j'étais plus que bien. Comme je ne sais pas très bien jouer j'ai vite commencé à me déshabiller mais Sam aussi perdait pas mal. Bref je me suis retrouvée en petite culotte exhibant mes petits seins tous durs alors que Sam était en slip. Les deux autres avaient encore leur pantalon. Le tour suivant Sam a perdu et a du enlever son caleçon. Sa bite était toute dure et on a bien rigolé. J'ai demandé comment on faisait maintenant et Abdel a répondu que l'on ferait des gages. Le tour d'après c'est moi qui enlevais ma culotte. Mon minou était bien humide et je me doutais que la soirée allait dégénérer mais j'avais envie de ces deux mecs. Abdel annonça que si Sam ou moi perdions, le premier gage serait d'être rasés. C'est moi qui ai perdu mais Abdel a dit qu'on allait faire un tour de plus. Ça a prit deux tours car Maurice a perdu le suivant et se retrouvait en slip, mais Sam eu aussi droit a son gage. On alla chercher des serviettes, des rasoirs et de la mousse et Maurice commença par Sam. Très vite il se retrouva avec la bite et les couilles rasées. Il bandait comme un âne et j'avais l'impression que ça l'excitait que Maurice lui touche les couilles.
Ensuite ce fût mon tour et Abdel s'occupa de ma touffe. Il me caressait aussi alors que j'étais toute écartée pour faciliter les choses. Une fois lisse, il me dit de me mettre à 4 pattes pour me raser le trou du cul. Mon petit trou était vierge, mais cette idée m'excita beaucoup et je lui présentais mes fesses bien ouvertes.
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Après ça Abdel proposa un nouveau tour et si Sam ou moi perdions, nous devrions obéir et faire tout ce que les deux autres voudraient. J'ai regardé Sam pour voir ce qu'il pensait et j'ai lu dans ses yeux qu'il était Ok. Moi je ne demandais que ça. Évidement en deux tours c'était réglé. Abdel nous dit de nous mettre à genoux et de les sucer. Je pris Abdel en bouche et Sam se mit à sucer Maurice. Ça m'existait à mort de le voir sucer lui aussi. Je ne pensais pas qu'il aimait ça. Ensuite on a changé et j'ai sucé Maurice. Abdel a ordonné à Sam de me baiser en même temps mais de ne pas jouir dans ma chatte. C'était le pied pour moi. Je me faisais limer par mon mec en suçant une belle bite. Lorsque Sam fut sur le point de jouir, Abdel lui dit de jouir dans ma bouche et m'ordonna d'avaler. Je ne l'avais jamais fais mais j'ai beaucoup aimé être forcée de le faire. En plus j'ai trouvé ça bon. Maurice s'était mis derrière moi entre temps et il se mit à me baiser. Sa bite était plus grosse que celle de Sam et j'avais l'impression d'être bien remplie. Abdel me présenta sa queue et je me mis à la sucer. Ils commencèrent à me traiter de petite salope, bonne pute, vide couilles et je trouvais ça super excitant. Ils demandèrent à Sam de se mettre sous moi pour me bouffer la chatte pendant qu'ils m'enfilaient. Ils disaient qu'il devait voir la petite chatte de sa salope de copine se faire défoncer par des vraies grosses bites. Je me retrouvais en 69 avec Sam pendant que Maurice continuait de me baiser. Je pris la queue de Sam dans ma bouche. Il était à nouveau tout dur et je compris que tout ça l'excitait autant que moi. Au moment où Maurice allait jouir, il sortit sa queue de ma chatte et la plongea dans la bouche de Sam en lui ordonnant de tout avaler.
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J'entendis mon chéri déglutir alors qu'Abdel le traitait de petite salope lui aussi. Abdel pris ensuite la place de Maurice pour me baiser à son tour. J'avais toujours la queue de Sam dans ma bouche. J'avais l'impression d'être un objet sexuel et je trouvais ça super. Abdel me baisait de façon très énergique et j'adorais ça. Il me prenait. J'étais à lui. Mon plaisir ne comptait pas pour lui. J'étais sa chose. Tout en me défonçant il commença à me masser le trou du cul et très vite son pouce pénétra mon petit trou vierge. Il me demanda si je m'étais déjà faite enculer et comme je répondis non il me dit qu'il allait me percer la pastille. J'avais peur d'avoir mal mais en même temps j'avais envie de me soumettre à sa loi. C'était lui l'homme. Il disposait de moi comme il voulait. Il me demanda si je voulais me faire enculer comme une vraie salope. Comme je ne répondis pas il me claqua le cul assez fort. Je criais "Oui je veux que tu m'encule". Il a été très doux quand même en me laissant le temps de m'habituer à la pénétration et si j'ai eu un peu mal au début ça n'a pas été aussi terrible que je l'avais craint. Une fois au fond de mon cul il s'est arrêté pour me laisser le temps de m'habituer. Je trouvais ça bizarre ce gros truc dans mon cul. Comme une envie de chier, mais meilleur. Une fois la douleur passée, c'est moi qui ai commencé à bouger pour qu'il puisse me prendre le cul. Il se mit alors à me baiser le cul doucement puis de plus en plus vite. Je gémissais ce qui lui fit comprendre que j'aimais ça. Il se mit à me claque les fesses tout en me défonçant. Il m'insultait, me traitant de petite enculée, me demandait si j'aimais avoir une grosse bite dans mon petit cul de bourgeoise, que j'étais une bonne salope juste faite pour se faire bourrer comme une chienne. Sam était sorti de sous moi et je vis Maurice lui dire de se mettre à genoux et de lui présenter son cul. Il voulait l'enculer lui aussi. Sam obéi aussitôt et 2 minutes après mon chéri et moi étions tous les deux enculés par les deux lascars…
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Toute la soirée Sam et moi avons été utilisés et une fois les deux autres partis nous nous sommes avoués que nous avions adoré ça.
Abdel m'a appelé le lendemain pour demander si nous avions aimé et quand je lui ai dis oui, il a proposé de remettre ça samedi prochain avec deux autres copains à lui. Comme je ne serais pas disponible le WE prochain je lui ai dit que dans 15 jours mes parents partaient pour trois jours et que Sam et moi l'attendions avec ses copains et je lui ai aussi dit que nous serions de bonnes petites salopes.
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Dimanche 20 novembre 7 20 /11 /Nov 22:46
Première fois avec un ami

Pour commencer, je ne me considère pas gay, car j’aime les femmes mais les hommes ne me dérange pas de temps à autre. Mais avant cette histoire, je me doutais à aucun moment que je passerais une fois avec un homme. Cette histoire est une histoire vraie qui s’est passé il y a une année en arrière environ. 
L’histoire commence chez un ami qui s’appelle Mathias suite à une soirée arrosée. On était pas rentré très tard, il devait être 22h. Mon ami m’avait proposé de rester dormir chez lui car c’était plus simple, car j’habite loin. Mathias avait un grand lit, ce qui lui permettait facilement de m’accueillir chez lui. Ce n’était pas la première fois que je venais chez lui, j’y avais déjà dormi deux trois fois auparavant. 
Une fois dans la chambre, je me mis rapidement à l’aise vu que je connaissais les lieux. Il me dit qu’il souhaitait prendre une douche avant d’aller dormir, je lui dis que j’en prendrai bien aussi une (je voulais pas passer pour quelqu’un de sale ahahah). Il me proposa d’y aller avant lui. 
Une fois la douche fini, je me mis en boxer pour dormir n’ayant pas pris de pyjama avec. Il ne faisait pas très chaud dans la pièce, du coup je ne tardai pas à faire lent pour aller dans le lit sous la couette, pendant que Maxime était à la douche. Dès qu’il fut revenu, il enfila un pyjama et vint me rejoindre au lit.
J’ai oublié de vous parler de Mathias : c’est un homme de 20 ans comme moi, on s’est connu à l’école primaire, on était dans la même classe avant que je change de ville avec mes parents. Depuis toutes ces années on est resté ami et on se voit de t’en à autre. Il est homo, il me l’a avoué il y a environ cinq ans plus tôt. Ma surprise était de taille car je ne m’y attendais pas du tout. Physiquement, il est assez petit, un petit peu musclé, blond avec des yeux verts. Il est plutôt beau gosse j’ai envie de dire. d’après ce qu'il me disait, il avait juste avant ce jour, eu qu'une seule et unique relation sexuel avec un homme.

Dans le lit on commença à parler de tout et de rien car aucun des deux n’avait l’aire d’avoir envie de dormir. J’étais d’humeur assez taquine et je le provoquais en le chauffant. D’habitude quand je l’embête comme ça, il s’énerve et me dit d’arrêter. Mais ce jour là non, il joua également à mon jeu. Je lui disais des choses comme par exemple, que je pourrais peut être un jour passer avec un mec, mais que dommage que lui c'était mon ami car je ne voudrais pas passer avec ami. Et lui, répondait à mes provocations en me disant que pour lui l’amitié ne changeait rien et que l’on pouvait coucher ensemble tout de suite. 
On était tous les deux sur le ton de la rigolade, mais cette situation m’exciter, et au fond de moi j’en avais envie mais ma conscience me l’interdisait. Heureusement que la couverture cachait mon érections. 
La conversation continua et devint de plus en plus chaude. On parlait de fellation et de sodomie, si l’un ou l’autre était capable de le faire… lui était ouvert à tout, en tout cas de ce qu’il disait. Moi je lui ai dit que de me faire sodomiser me plairer pas mais la fellation pourquoi pas même si cela me dégoûtait fortement. Puis il s’exclama :
- Si je t’embrasse tu me fais quoi ?
- Je sais pas essaie ! Dis-je d’un aire moqueur
Aussitôt il se redressa et se positionna au dessus de moi. Il approcha sa bouche de la mienne. Mais d’un geste brusque je le fis se retirer avant qu’il aie pu me toucher les lèvres. Ce geste était parti tout seul, comme si c’était un ordre de mon cerveau mais pas de mon envie. Il me dit :
- Je te comprends pas, tu me chauffes depuis un moment et là tu me rejettes ?
- Euh, moi-même je ne me comprends pas.
- C’est que tu as envie alors ?
- Surment ! J’aime bien te provoquer...
A ce moment là, je senti sa main se poser sur mon torse et il me dit
- Tu me laisses faire ca ?
- A voir
Il commença à me caresser le torse en me regardant dans les yeux. Je senti ca main descendre et encore d’un geste réflexe, je retira sa main avant qu’il aie pu atteindre quoi que ce soit. Je lui dis :
- Arrête ca !
- Okay, je vois que je peux rien faire…
- Non effectivement
- Alors j’éteins la lumière et on dort ?
- Non pas obligé
- Alors dit moi ce que tu veux faire ?
- A toi de voir
- Si ce serait à moi de voir, j’aurais déjà gouté à tes lèvres…
- Qu’est ce que tu attends ? Répondis je avec un grand sourire narquois au lèvre
- Ton approbation
- Tu l’as
A ce moment là il posa d’un geste vif sa main sur mon boxer et dit :
- Je vois que tu n’es pas indifférent à mes avances
- Effectivement
Après ces mots, je pris sa main et la retira à nouveau. Voyant mon refus, il se dressa et se positionna de tout son corps au dessus de moi, de manière à ce que je ne puisse plus le retirer. Il dit :
- Et là tu réponds quoi ?
- Pas non en tout cas
Il approcha sa tête et s’arrêta à quelque millimètres de ma bouche attendant que ce soit moi qui fasse le premier pas. J’hésita un moment puis j'approcha ma bouche de la sienne et on s’embrassa. Il mit directement sa langue au fond de ma bouche, mais de façon douce. On s’embrassa comme cela pendant une vingtaine de seconde puis il me dit :
- Tu veux toujours continuer ?
- Oui, mais…
- Mais ?
- … je suis désolé mais je m’y connais rien avec les hommes…
- Laisse moi faire
Suite à ces mots, il me rembrassa. Ca main vient se glisser sous mon boxer pour att****r ma bite qui était prête à exposer tellement j’étais excité par le moment présent. Il faisait de léger mouvement sur ma queue, il la froter avec ses doigts tout doucement allant jusqu’à caresser mes boules. 
Il se redressa et nous fit basculer de l’autre côté du lit afin que ca soit moi qui soit au dessus de lui à présent. Je continua à l’embrasser à pleine bouche, il bossa ces deux mains sur mon cul sous le boxer à malaxer mes fesses. Puis il fit descendre gentiment mon boxer le long de mes jambes en me disant :
- Enlève moi ca !
Je me fis pas prier et je retira mon boxer et me retrouva nu au dessus de mon meilleur ami qui lui pour l’instant rester habillé en pyjama. Il profita de mon exhibition pour mater mon sexe et me dit :
- Depuis le temps que je voulais le voir…
- Hum comme ça tu pensais souvent à moi ?
- Si tu savais…
- Petit coquin
Suite à ces mots je lui fis retirer son haut de pyjama. Je lui fit un petit baiser avant de lui retirer le bas. Je fis glisser son short de nuit et son boxer le long de ses jambes. Je pus enfin apercevoir son penis qui devait faire environ la même taille que le miens soit 15 cm. Puis je remonta ma tête pour l’embrasser, nos corps était l’un contre l’autre, nu. Nos bites se frottaient l’une contre l’autre. Il me fit signe qu’il reprennait les choses en main et qu’il fallait que je m’allonge. Je m’exécutai aussi vite.
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Il vint au dessus de moi et me fit des petits bisous dans le coup et descendit de plus en plus sur mon corps jusqu’à arriver à la hauteur de ma queue. Il pris ma bite dans ses mains et commença à la masturber. Il accéléra un peu le mouvement, puis après quelque seconde, il stoppa et approcha sa bouche pour lecher le bout de ma queue. Il faisait des tours avec sa langue autour de mon gland. Il commença à la lecher sur toute sa longueur. Puis d'un coup brusque, il avala d'un coup toute ma bite. Il fit de nombreux va et viens sur ma bite avec sa bouche, tout en malaxant mes boules avec une main. C’était très agréable, il savait s’y prendre. Il reprit ma bite avec sa main tout en la gardant dans la bouche et fit des mouvements rapides. Je sentais que je n’allais plus tenir longtemps, mais il arrêta au bon moment pour garder du plaisir. Puis remonta m’embrasser.
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C’était à mon tour de lui procurer du plaisir alors je lui fis prendre ma place. Je masturba sa queue, puis sentent une envie de prendre sa bite dans ma bouche monter en moi, j'approcha mes lèvres et les déposerent sur son gland. Je lécha le bout de sa queue, puis je descendis avec ma langue le long de sa bite au fur et à mesure. Je l'entendais faire des petits gémissements à chacun de mes coups de langue. Puis je pris sa bite entièrement dans ma bouche. Je fis des va et viens très rapidement pour lui produire un maximum d'effet. Une de mes mains caressait son torse. J’essayais daller le plus loin possible dans ma gorge avec sa bite. Puis il me dit :
- Je te découvre des talents caché
- J’aurais peut être presque préféré que ca reste caché
- Je suis sur que tu ne regrette rien ! Ca te dit de faire un 69 ?
- On peut...
Je me mis au dessus de lui en écartant les jambes au dessus de sa tête et repris ausitôt sa bite dans ma bouche. Il en fit de même. Cette position était très agréable. Après un moment il arrêta de me sucer et se mit à malaxer mes fesses se rapprochant de plus en plus de mon anus. Il posa délicatement sa langue sur ma rondelle, ce qui fit me parcourir un frison de plaisir sur tout mon corps. Puis il commença a tenter de f***er le passage avec sa langue en faisant de petit coup de langue, puis il y mis un doigt. Il alternait les coups de langues et les coups de doigts pour faire dilater mon rectum. Pendant ce temps là j’essayais de me concentrer à le sucer, mais ce n’était pas évident vu la situation. Puis il commença à insérer deux doigts ce qui me fit avoir une léger douleur, mais vite remplacer par le plaisir. Puis au bout d’un moment il y mit un troisième. A ce moment là il dit :
- Voilà ton petit trou et prêt à m’accueillir. Bouge toi et écarte les jambes
- Tu es sûr.. ?
- Fait moi confiance

Je me mis à quatre pâte en écartant les jambes comme il me l’avait dit. Il se mit derrière moi et me lécha un dernier coup l’anus. Je senti son gland se poser sur ma rail. Et sans que je puisse me préparer psychologiquement, il s’enfonça en moi. Je ressenti une vive douleur comme si on m’arrachait le cul. Voyant que je souffrais, il arrêta tout mouvement et resta dans mon cul sans bouger pour que je m’habitue à cette présence inhabituelle en moi.
Après un court instant il reprit les hostilités et commença les va et viens. Ca devenait de plus en plus agréable au fur et à mesure. Jamais je n’aurais pensé me retrouver un jour dans cette posture et pire encore y prendre du plaisir. Il accéléra encore plus les mouvements. Aucun son ne voulait sortir de ma bouche mais je respirer rapidement de plaisir. 
Il avait une sacrée endurance, car ca faisait maintenant au moins 3 minutes que l’on était dans cette position à ce rythme effréné. Au bout d’un moment il ralenti le mouvement et fit un râle de plaisir. Je senti alors à ma grande surprise son sperme se déverser en moi. Il me dit :
- Ton petit trou est très agréable
- Tu aurais pu tout de même t’empêcher d’éjaculer en moi...
- Ahaha désolé pas pu me retenir ! Maintenant c’est à toi de jouir.
Il me fit signe de m'allonger, puis il commença à embrasser ma poitrine suivit de mon nombril mon nombril, plusieurs fois. Avec sa main il reprit ma bite et me branla doucement pendant qu'il continuait à me lécher le corps.
Il descendis encore plus pour prendre ma queue en bouche. Il me refit une pipe d'enfer. Après un moment pour corser le tout, il se mit à me doigter l'anus en même temps avec une main e avec l'autre, il branlait ma bite tout en me suçant. Tout cela me fit vite prendre mon pied et éjaculer dans sa bouche. Il avait l'aire d'aimer cela, car il avala mon foutre d'un coup et vint même finir le travail en nettoyant scrupuleusement mon pénis pour ne pas en laisser une goutte.
Puis il remonta m'embrasser un dernier coup avant d'éteindre la lumière. Il s'allongea contre moi pour dormir la tête sur mon torse. Et c'est comme cela que ce finit cette incroyable soirée qui fut pour moi une expérience intéressante et totalement imprévu.
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Dimanche 20 novembre 7 20 /11 /Nov 22:45
Un Court-métrage de Guillaume Foirest Avec : Fabrice-Aïssa Busetta, Max Morel
Année de production : 2005

« L'Amour physique est sans issue. »
Les « Glory Holes » se trouvent la plupart du temps dans les sous-sols des sex-shops, des sex-clubs, ou de ce que l'on appelle vulgairement des bars à putes.
Le plaisir y est aveugle, anonyme. Il se complaît dans cette cécité.
« Elle » est le moteur de ses fantasmes, de ses peurs, de son mal-être et de sa générosité naïve et vaine. « Il » l'attendra chaque Mercredi.
Ce court métrage est le premier film de fiction réalisé par Guillaume Foirest dans le cadre de son mémoire de fin d'études à l'ESRA Nice en 2005. Le film a été distribué par DVD Pocket et a fait de nombreux festivals à travers le monde.

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Dimanche 20 novembre 7 20 /11 /Nov 22:40
Il n’y a pas de règle mais généralement, la première fois pour un gay se déroule rarement par la porte de derrière. Beaucoup d’idées reçues et pas mal de timidité empêchent les gays débutants de se faire prendre lors de leur dépucelage. La découverte de la sodomie passive peut se faire plus ou moins tardivement, selon l’opportunité ou le tempérament du partenaire. Voici comment ça s’est passé pour nos trois témoins du mois.

Philippe, 30 ans, Paris.

J’ai commencé très tôt à coucher avec des mecs. J’ai eu ma première expérience à 15 ans et demi avec Axel, un étudiant de 20 ans rencontré sur un quai de métro. Axel voulait m’enculer, parce que selon lui mon cul était parfait : je suis naturellement bien cambré, mes fesses sont totalement imberbes et bien rondes. Mais moi, j’ai refusé net, j’avais trop peur d’avoir mal. Pourtant, je voyais bien qu’on pouvait prendre son pied par derrière. Nico, un de mes petits copains, s’éclatait comme jamais dès que je le prenais. Pourtant, avec mon épaisse queue de dix-neuf centimètres, je pensais que ça lui faisait mal. Mais non, il aimait ça. Un jour, j’avais 19 ans, j’ai rencontré Patrick, 35 ans. D’habitude, je préfère les mecs plus jeunes mais c’était un très beau mec qui ne faisait pas du tout son âge et qui avait beaucoup d’assurance. On est allé chez lui et là, il m’a fait super bien l’amour. Il était très attentionné et me caressait et me suçait de façon extraordinaire. Il m’a ensuite placé en levrette et s’est agenouillé pour me bouffer le cul. C’était la première fois et j’ai tout de suite adoré. Il m’a mis un doigt et là, j’ai protesté. Patrick a insisté et j’ai fini par me laisser faire car c’était très agréable. Entre le doigt qu’il m’enfonçait toujours plus loin et ses coups de langue sur ma queue et mon trou, je râlais de plaisir.
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Et puis d’un coup, j’ai entendu un bruit de plastique déchiré et j’ai ressenti un truc spécial en moi. J’ai relevé la tête : Patrick me tenait les jambes et remuait son bassin. Bizarre… Je me suis contorsionné pour voir ce qui se passait et là, j’ai crû défaillir : Patrick était tout simplement en train de m’enculer ! Il avait mis une capote et tout. C’était incroyable, je ne ressentais rien du tout ! Ni douleur, ni plaisir. J’étais (pardonnez l’expression) sur le cul ! Moi qui pensais que la sodomie faisait mal, je ne ressentais rien ! Patrick m’a enculé un petit moment, je n’en revenais pas. Axel avait raison, j’avais un cul fait pour ça. J’ai vite recommencé avec d’autres mecs et là en revanche, j’ai pris mon pied. Depuis je suis un actif-passif convaincu !


Aurélien, 19 ans, Guéret

J’avais 15 ans quand j’ai eu mon premier touche-pipi avec un copain du lycée. J’ai compris que j’aimais les mecs mais dans ma région, c’est très dur de faire des rencontres. Je me suis contenté pendant toute mon adolescence de me branler en matant des films de cul. Je flashais surtout sur les passages où les mecs se faisaient sauter. J’en avais vachement envie mais hélas, je n’avais personne sous la main. Pour combler ce vide, j’ai opté pour les légumes du jardin. J’ai pris une petite courgette et j’ai essayé de me l’enfoncer juste comme ça, avec de la salive. Douleur ! Mais avec de la vaseline, ça rentrait tout seul. J’étais vraiment en chaleur à l’époque et mes branlettes devenaient dingues : je jouissais de la bite et du cul. Un pied pas possible. Plus tard, j’ai acheté un godemiché et du gel. C’était vraiment super et mon cul était devenu bien dilaté.
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Si bien que la première fois qu’un mec m’a enculé pour de vrai, il a refusé de croire que j’étais puceau ! 

David, 24 ans, Nîmes.

Je me suis toujours considéré comme étant actif. Comme j’ai commencé ma vie sexuelle avec des filles, la question ne se posait même pas. J’assurais bien, d’autant que la nature m’a très bien pourvu. En clair, on la sent passer ! Petit à petit, j’ai découvert que le corps des mecs m’excitait : chaque fois que j’allais à la plage ou à la piscine, je m’arrangeais pour mater les garçons sous la douche. J’avais envie de voir leur queue, de les toucher, de les branler… Rien de plus. C’était un fantasme. Il y a quatre ans, je me suis mis à sortir avec Sandrine, une fille très chaude qui aimait multiplier les expériences. Je lui ai parlé de mon fantasme en toute liberté. Ça l’a bien excité et elle m’a proposé un plan à trois avec un bi qu’elle connaissait. Fred était pas mal : 1m85, 78 kilos, un beau corps bien ferme, très sportif, une belle gueule de normand. Et puis le slibard bien fourni ! Au début, j’étais pas super à l’aise. On a bu pas mal de vin avant que je ne me laisse aller. Fred était très cool avec moi et ne m’a pas brusqué. Il s’est d’abord occupé de Sandrine avec moi, puis petit à petit, il m’a caressé par ci, par là. Je répondais bien et je le touchais aussi. Nos trois corps se sont confondus, c’était très excitant. On ne savait plus qui embrassait qui, qui léchait, qui caressait… Génial ! J’ai pris Sandrine tandis que Fred s’est mis à me lécher le cul. Il m’a ensuite travaillé le cul, avec un doigt puis deux. Ça j’aimais bien, Sandrine me l’avait déjà fait. Elle était très excitée par ce qui se passait. Elle s’est retirée pour nous mater, moi et Fred. J’étais un peu gêné, j’avais envie de changer de position, mais Sandrine m’a ordonné de me laisser faire. Puis elle a exigé que Fred m’encule. Je n’étais pas chaud du tout ! Mais la fermeté de Sandrine n’admettait aucun refus. En fait, j’en mourais d’envie ! Fred a été très doux, très patient. Je pense qu’au début je bloquais pas mal. Mais à force de caresses et de gel, mon cul s’est petit à petit ouvert à sa grosse bite.
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Lorsqu’elle est arrivée au fond de mon trou, j’ai cru que j’allais tomber dans les pommes tellement c’était puissant ! Fred m’a bien limé et moi je bandais tout le temps. Sandrine a repris sa position et je me suis retrouvé en sandwich tout le reste de la nuit. Un grand moment…

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Par TOMA - Publié dans : SOFT-HISTOIRE-SPORTIF SEXY-ÉROTIQUE-BIO - Communauté : SEXE ACTUEL
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Samedi 19 novembre 6 19 /11 /Nov 01:30
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