Farouk le Caïd larvé sur une BMW (Villeurbanne) ***
Salut les keums ! Vas-y je me présente : je m’appelle Farouk, mais dans ma cité de Villeurbanne tout le monde me surnomme le Caïd parce qu’y a rien à dire, c’est
moi le boss de la téci ! T’as vu, j’ai 19 piges, 1 mètre 70 et que du muscle. Je passe mes journées à me taper les barres d’acier pour muscler mes pec de rebeu à la sauce espagnole : ma mère est
madrilène, mon vieux est un pur algérien, un mélange de ouf ! T’as vu mec, j’ai le sang chaud des méditerranéens qui, dès qu’ils lancent un regard, font tomber toutes les minettes et les petites
lopes dans ton genre qui sont en train de lire mon histoire.
Le week-end dernier, j’ai fait une virée dans le 94 à Créteil, manière de délirer avec mon couz et visiter la famille. Youness, mon cousin, a 25 ans. C’est un bon
laskard vicieux qui kiffe les jeux un peu hardos, si tu vois ce que je veux dire. Chaque fois qu’on se retrouve, on se tape des verres de vodka devant un film de boules hétéro en parlant des
petits culs qu’on a serré. Et y a pas à dire, au final, il se tape plus de mecs que de nanas. Je dois avouer qu’on a les mêmes kiffs même si on ne veut pas l’avouer. Souvent, on serre ensemble un
petit cefran avec une bouche et un boule de tepu manière d’évacuer toute l’excitation qu’on renferme en nous…
Quand je suis arrivé dans l’appart familial, on a repris nos habitudes : bonjour la famille et hop, on s’enferme dans sa chambre qui devient vite un aquarium tant
on enfile les tarpés, une bonne zik de rap américain dans les oreilles. Pourtant ce soir là, Youness était bizarre, différent. Je sentais qu’il portait sur moi le regard qu’il a généralement
quand il vise une de ses proies. Ca m’a foutu un peu mal à l’aise :
Hey cousin, qu’est-ce tu fais ? Pourquoi tu me mates comme ça ? Vas-y suis pas une pute, arrête de reluquer mon cul…
Bon, c’est vrai que j’ai un cul super gaulé, franchement j’en suis fier, en plus il ressort grave dans ce jean. Je dois avouer : me faire mater par mon couz, ça me
met mal à l’aise parce que je suis un pur actif moi, et en même temps je dois dire que j’ai apprécié, je sais pas pourquoi. Alors j’ai pas insisté, je l’ai laissé faire même quand, à deux
reprises, il s’est levé et s’est frotté contre mon cul, soi-disant sans faire exprès… Tu parles ! Je le sentais bien bander ce bâtard avec sa matraque de blédard.
Dans la soirée on a retrouvé deux potes keblas à Youness. Des mecs super grands et franchement cool. On a bien déliré tous les 4. On est parti se faire une virée
dans Paname avec la BMW d’un des potes. En rentrant, j’étais mort, bourré comme jamais. Youness a eu la main lourde, il m’a fait piccolé à fond pour fêter nos retrouvailles. Quand on est arrivé
dans la cité, à 3 ou 4 heures du mat, je ronquais dans la caisse. J’ai rien calculé sérieux ! Subitement, je me suis senti sortir violemment de la BM par les mains puissantes des deux keblas.
Laisse tomber ! Les mecs font le double de ma taille, leurs pognes sont aussi grandes que mon visage. Putain j’imagine même pas le reste… J’ai eu rien le temps de dire que les deux manos
m’alignaient la gueule contre le capot de leur caisse et l’un deux arracha mon froc.
Vas-y tu fais quoi là man ??, m’écriai-je.
Mais ça servait à rien, je commençais à piger ce qu’ils attendaient. Autour de moi, les murs sombres d’un garage immensément vide que seuls les phares de la bagnole
éclairaient. Un des keums tira mon cul en arrière, putain, j’y crois pas, ils vont me niker les bâtards ! Moi Farouk, le pur actif de service, je vais me faire larver par deux blacks. Contre un
pilier, je vois Youness qui les regarde faire, satisfait. Le chien ! Il se tâte le paquet en plus, il profite du spectacle, je vais me faire violer et le cousin bronche pas… J’ai envie de gueuler
pour l’insulter mais je hurle de douleur. Un des keums vient de m’enfoncer direct sa teub. Putain, il m’arrache le cul ce con ! Il s’enfonce en moi comme un taré à sec, sa bite est énorme, j’ai
l’impression qu’il ramone jusque mes intestins. Ca me fait tellement mal au début que j’en ai les larmes au yeux. Putain, ça craint, un caïd qui se fait mettre aussi profond ! Le kebla est
endurant, il a pas envie de lâcher l’affaire, il me ramone à donf pendant que son pote se malaxe la bite devant mes yeux. J’entends ses gémissements rauques chaque fois que ces couilles viennent
claquer mon cul. Il a des burnes en acier, trop pleines le keum. Au bout de quelques minutes, je dois avouer que je commence à apprécier. La douleur laisse place à un plaisir inconnu, comme si le
keum m’avait libéré d’une virginité. C’est la honte de penser ça mais c’est bien réel… Il insiste, frappe mon cul avec sa main, me traite en chienne, commence à m’insulter. Je crois même qu’à la
fin c’est moi qui en redemandait, en fait je kiffais bien ce rôle de soumis à mes deux étalons. Youness, lui, avait sorti sa tige, je l’avais jamais vu aussi raide et excitée. A croire qu’il
kiffe voir son petit cousin se faire matraquer le boule par ses potes laskards. Le keum n’avait pas encore joui qu’il laissait la place à son poto, aussi bien membré que lui : 24 cm direct dans
ma chatte béante ! Je hurlais comme un taré, aveuglé par les feux de la BMW. J’étais totalement à poil. Mon corps de Musclor ruisselait grave, je gémissais, j’hurlais, les keums me déchiraient
l’anus à chaque assaut avec leur bambou circoncis. Mais franchement, c’était bon ! Hard et bon ! Le deuxième manos me retourna sur le capot de la caisse, en fermant entre ses pognes mes chevilles
et en écartant un max mes jambes, manière de m’enfiler direct en matant mon visage. Je pouvais admirer son corps ébène sec et dessiné en train de s’enfoncer en moi. J’aurais jamais cru que Farouk
le puissant se ferait limé par deux keblas de la sorte. J’avais le cul en feu. Le mec a lâché mes jambes qui restaient pendantes pour prendre fermement entre ses mains mes fesses rondes comme des
pommes.
De coups secs ils les tiraient jusqu’à la base de sa queue, je la sentais me labourer et se raidir pour l’assaut suprême. Il se mit à accélérer encore plus la
cadence, contracter ses muscles et, tout en hurlant de plaiz déchargea une dose hallucinante de crème chaude dans mes intestins. Je débloquais là !! Il était vraiment en train de me féconder le
bâtard ! Il resta plusieurs minutes raide à continuer de me saillir, comme pour enfoncer son foutre au plus profond de mon cul. Je sentais que j’allais m’évanouir. Son pote se vida aussi en moi,
j’étais rempli de jus de blackos, leur sperme dégoulinait entre mes jambes, ils essuyèrent leur teub sur ma gueule…
J’avais été leur pute, ils m’avaient larvé comme j’ai l’habitude de le faire dans le cul des petites lopes que je nike. Ce soir là, c’était moi la tepu. Pour
couronner le tout, Youness, mon cousin, a déchargé son foutre entre mes lèvres. En me chuchotant :
Vas-y cousin, avale, c’est le yop de la famille que tu bois là. Nettoie bien ma queue, sinon mes potes vont te montrer comment obéir !
Et, soumis à mon cousin et à ses deux potes, j’ai léché tout le foutre qui collait à ma peau. Youness et les keublas avaient gagné la partie : j’étais dressé.
J’étais devenu, à mon tour, une boîte à jus…