Dimanche 20 novembre
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Il n’y a pas de règle mais généralement, la première fois pour un gay se déroule rarement par la porte de derrière. Beaucoup d’idées reçues et pas mal de timidité
empêchent les gays débutants de se faire prendre lors de leur dépucelage. La découverte de la sodomie passive peut se faire plus ou moins tardivement, selon l’opportunité ou le tempérament du
partenaire. Voici comment ça s’est passé pour nos trois témoins du mois.
Philippe, 30 ans, Paris.
J’ai commencé très tôt à coucher avec des mecs. J’ai eu ma première expérience à 15 ans et demi avec Axel, un étudiant de 20 ans rencontré sur un quai de métro.
Axel voulait m’enculer, parce que selon lui mon cul était parfait : je suis naturellement bien cambré, mes fesses sont totalement imberbes et bien rondes. Mais moi, j’ai refusé net, j’avais trop
peur d’avoir mal. Pourtant, je voyais bien qu’on pouvait prendre son pied par derrière. Nico, un de mes petits copains, s’éclatait comme jamais dès que je le prenais. Pourtant, avec mon épaisse
queue de dix-neuf centimètres, je pensais que ça lui faisait mal. Mais non, il aimait ça. Un jour, j’avais 19 ans, j’ai rencontré Patrick, 35 ans. D’habitude, je préfère les mecs plus jeunes mais
c’était un très beau mec qui ne faisait pas du tout son âge et qui avait beaucoup d’assurance. On est allé chez lui et là, il m’a fait super bien l’amour. Il était très attentionné et me
caressait et me suçait de façon extraordinaire. Il m’a ensuite placé en levrette et s’est agenouillé pour me bouffer le cul. C’était la première fois et j’ai tout de suite adoré. Il m’a mis un
doigt et là, j’ai protesté. Patrick a insisté et j’ai fini par me laisser faire car c’était très agréable. Entre le doigt qu’il m’enfonçait toujours plus loin et ses coups de langue sur ma queue
et mon trou, je râlais de plaisir.
Et puis d’un coup, j’ai entendu un bruit de plastique déchiré et j’ai ressenti un truc spécial en moi. J’ai relevé la tête : Patrick me tenait les jambes et remuait
son bassin. Bizarre… Je me suis contorsionné pour voir ce qui se passait et là, j’ai crû défaillir : Patrick était tout simplement en train de m’enculer ! Il avait mis une capote et tout. C’était
incroyable, je ne ressentais rien du tout ! Ni douleur, ni plaisir. J’étais (pardonnez l’expression) sur le cul ! Moi qui pensais que la sodomie faisait mal, je ne ressentais rien ! Patrick m’a
enculé un petit moment, je n’en revenais pas. Axel avait raison, j’avais un cul fait pour ça. J’ai vite recommencé avec d’autres mecs et là en revanche, j’ai pris mon pied. Depuis je suis un
actif-passif convaincu !
Aurélien, 19 ans, Guéret
J’avais 15 ans quand j’ai eu mon premier touche-pipi avec un copain du lycée. J’ai compris que j’aimais les mecs mais dans ma région, c’est très dur de faire des
rencontres. Je me suis contenté pendant toute mon adolescence de me branler en matant des films de cul. Je flashais surtout sur les passages où les mecs se faisaient sauter. J’en avais vachement
envie mais hélas, je n’avais personne sous la main. Pour combler ce vide, j’ai opté pour les légumes du jardin. J’ai pris une petite courgette et j’ai essayé de me l’enfoncer juste comme ça, avec
de la salive. Douleur ! Mais avec de la vaseline, ça rentrait tout seul. J’étais vraiment en chaleur à l’époque et mes branlettes devenaient dingues : je jouissais de la bite et du cul. Un pied
pas possible. Plus tard, j’ai acheté un godemiché et du gel. C’était vraiment super et mon cul était devenu bien dilaté.
Si bien que la première fois qu’un mec m’a enculé pour de vrai, il a refusé de croire que j’étais puceau !
David, 24 ans, Nîmes.
Je me suis toujours considéré comme étant actif. Comme j’ai commencé ma vie sexuelle avec des filles, la question ne se posait même pas. J’assurais bien, d’autant
que la nature m’a très bien pourvu. En clair, on la sent passer ! Petit à petit, j’ai découvert que le corps des mecs m’excitait : chaque fois que j’allais à la plage ou à la piscine, je
m’arrangeais pour mater les garçons sous la douche. J’avais envie de voir leur queue, de les toucher, de les branler… Rien de plus. C’était un fantasme. Il y a quatre ans, je me suis mis à sortir
avec Sandrine, une fille très chaude qui aimait multiplier les expériences. Je lui ai parlé de mon fantasme en toute liberté. Ça l’a bien excité et elle m’a proposé un plan à trois avec un bi
qu’elle connaissait. Fred était pas mal : 1m85, 78 kilos, un beau corps bien ferme, très sportif, une belle gueule de normand. Et puis le slibard bien fourni ! Au début, j’étais pas super à
l’aise. On a bu pas mal de vin avant que je ne me laisse aller. Fred était très cool avec moi et ne m’a pas brusqué. Il s’est d’abord occupé de Sandrine avec moi, puis petit à petit, il m’a
caressé par ci, par là. Je répondais bien et je le touchais aussi. Nos trois corps se sont confondus, c’était très excitant. On ne savait plus qui embrassait qui, qui léchait, qui caressait…
Génial ! J’ai pris Sandrine tandis que Fred s’est mis à me lécher le cul. Il m’a ensuite travaillé le cul, avec un doigt puis deux. Ça j’aimais bien, Sandrine me l’avait déjà fait. Elle était
très excitée par ce qui se passait. Elle s’est retirée pour nous mater, moi et Fred. J’étais un peu gêné, j’avais envie de changer de position, mais Sandrine m’a ordonné de me laisser faire. Puis
elle a exigé que Fred m’encule. Je n’étais pas chaud du tout ! Mais la fermeté de Sandrine n’admettait aucun refus. En fait, j’en mourais d’envie ! Fred a été très doux, très patient. Je pense
qu’au début je bloquais pas mal. Mais à force de caresses et de gel, mon cul s’est petit à petit ouvert à sa grosse bite.
Lorsqu’elle est arrivée au fond de mon trou, j’ai cru que j’allais tomber dans les pommes tellement c’était puissant ! Fred m’a bien limé et moi je bandais tout le
temps. Sandrine a repris sa position et je me suis retrouvé en sandwich tout le reste de la nuit. Un grand moment…