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Wesh Mec. Quand l’un des meilleurs pineurs cagoulés du moment le super gaulé Anis rencontre le passif le plus bandant de banlieue, forcément ça le fait !
Quelques fois tu vas pouvoir dénicher un cagouleur qui a du cœur. Anis par exemple est du style généreux : on pourrait le reluquer durant des
heures en train de se masturber son énorme baramine de canaille cependant il ne faut pas omettre que le gars est un gros partageur. Lorsque tu te soumets parfaitement, le rebeu hardos
t'accompagne pour des gang bang bouillants du gourdin. Yo en a dernièrement fait les frais dans Yo n'écarte pas. Tu vas pouvoir me croire lorsque je te dis que Anis et son soumit
lui ont déchiré l' anus. Te voici prévenu : les sucettes à l'Anis t'emmènent aux anges.
Anis est un rebeu actif jeune et équipé d'une bonne bite circoncise, bien large et dure. D'origine algérienne, le gars est bien balaise, musclé sec et il a un torse poilu. Il kiffe la natation et le foot (ca se voit bien sur ses mollets et ses cuisses bien musclées). Il traine pas dans les endroits chelous, mais de temps en temps il kiffe se taper des mecs passifs lorsqu'ils ont un bon cul imberbe ou une bonne bouche de suceuse confirmée. A part ça, le gars est super reglo. Pas de combines zarbi, pas de casier judiciaire, pas de blêmes au taff... Il a une belle meuf (algérienne aussi), qui ne s'en doute même pas. Elle est heureuse d'avoir un mec rebeu bon nikeur et reglo pour son futur mari ... mais elle est aussi une mauvaise suceuse. Eh ben, on peut pas tout avoir dans la vie. Alors faut trouver la bonne combine.
Quand on étudie les anciens mythes grecs, on s'aperçoit que l'homosexualité est toujours liée à la pédagogie et à l'initiation (1). Dans de nombreux mythes, on voit un maître et un élève. Le maître est l'éraste, c'est-à-dire l'amant au sens actif du terme, et l'élève est l'éromène, au sens étymologique « celui qui est aimé » : il a donc un rôle sexuel passif.
Presque tous les mythes grecs se confondent à ce modèle, comme celui d'Apollon et Hyacinthe. Apollon aime Hyacinthe. Il l'aime activement. Il le voit, il l'emmène avec lui à la chasse et il lui apprend non seulement l'usage de l'arc et de la lance, mais aussi l'usage de la lyre, la poésie, la musique...
C'est donc le maître au sens total du terme.
Un jour, au cours d'une épreuve, Apollon apprend à Hyacinthe, son élève et amant, à lancer le disque. Mais le disque, en pierre, heurte la tête de Hyacinthe et le tue.
Dans certains textes le mythe s'arrête là, mais dans d'autres il y a une suite : Hyacinthe ressuscite et apparaît sous les traits d'un homme barbu, alors qu'avant il était parfaitement imberbe.
Le sens est clair : Apollon a tué un tout jeune homme, au statut inférieur, passif, égal à celui d'une femme, et l'a ressuscité en un citoyen adulte et barbu. A Sparte, car le mythe est spartiate, les guerriers sont toujours barbus. Voilà un exemple typique de mythe initiatique, avec un aspect affectif et sexuel tout à fait clair, c'est le maître qui a permis à son élève de devenir un homme à son image, égal à lui-même.
(1) cf. Bernard Sergent, Homosexualité et initiation chez les peuples indo-européens, Editions Payot, 1996, ISBN : 2228890529