Mercredi 23 mars
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22:52
Assise sur le canapé, elle me montre sa chatte;
Son sourire accompagné du clin d’œil me font rebander aussitôt
Ma petite salope va me chauffer en se calant 2 doigts dans le minou devant moi en me disant qu'elle attendait plus que ma grosse bite et qu'elle avait une
envie folle du sucer de la queue !
J’écarte ses lèvres, j'enfonce ma langue dans son trou humide – sa mouille est bon gout – une main sur ses seins, l'autre qui recherche à nouveau son
cul afin d'y enfoncer un doigt. Elle reprend ses gémissements, des « Encore… » soupirants, des cris de plaisir. Je m'attarde sur son clitoris ; du bout de la langue ou complètement, je le lèche
au rythme de ses cris, deux doigts enfoncés dans son minou.
À son jus qui me coule dans la bouche, à ses cris, je comprends que la jouissance est proche. Quand elle évacue ce début de réel plaisir qui doit être
énormément intense pour elle, si elle savait que je n'ai plus de limites, quoi qu'il se passe ensuite, j'assumerai ; mais l'envie de profiter de la situation est plus forte que la raison. Elle se
laisse aller au plaisir et à la découverte de la jouissance.
C'était trop pour moi, je sors mon engin et je lui enfonce dans la bouche, elle va bien me sucer avant que je la baise sur le canapé.
Ma Belle approche ses lèvres de mon gland que je vois disparaître entre ses lèvres. Le plaisir est immédiat, je commence à gémir. Elle est encouragée
par mon plaisir, se « lâche » un peu plus, et c'est entièrement que je vois ma queue disparaître dans sa bouche, ce qui me fait un peu peur : sans me vanter, je suis assez bien monté et sa bouche
me paraît petite.
Ça ne l’empêche pas d'avaler entièrement ma verge, de faire les va-et-vient d’une merveilleuse fellation; j'ai envie de jouir tellement le plaisir est
immense, mais je me retiens. Je me laisse faire ; sa main prend la relève de sa bouche.
Elle se mit à pousser des gémissements que je ne lui connaissais pas.
Je la releve et la met en Levrette...
A 4 Pattes ma Cochonne Chèrie!
Je passais une de mes mains sur son ventre pour glisser deux de mes doigts dans sa fente jusqu'à son bouton que je me mis à masser. Elle s'écroula le
visage enfouie dans un des coussins du canapé, marmonnant des mots sans suite, succombant à un violent orgasme.
— Encore, mon Ange… Putain, encore, c'est trop bon !
Je pensais qu'à son cul, alors je reste pas longtemps dans sa chatte et je m'enfonce dans son trou de balle que je défonce ! C'est carrément un boulevard
son cul que j'ai finis par arroser à ma façon !
Oh oui mon amour. Prends mon cul comme une chienne ....Bourres-moi fort, j'ai envie de te sentir jouir entre mes fesses. Prends-moi fort. Je suis à toi, mon
amour.
Je m'enfoncerais alors en lui mettant des petites poussées pour ne pas lui faire mal puis quand tout le gland sera engagé, je l'attraperais par les hanches
pour l'attirer vers moi et l'empaler en douceur.
Son trou est latge maintenant, elle s'est assise sur ma queue pour que je puisse l'enculer.
Je n'en pouvais plus tant l'excitation d'entendre ma femme prendre autant de plaisir par là. Je sentais que je n'allais pas tenir longtemps. Ma femme le
sentit aussi. Elle souffla :
Oui, mon amour, oui. J'ai envie, laisses-toi aller. Remplis-moi les fesses. Jouis.
Je l'attrapais par les hanches plus sèchement pour lui asséner plusieurs violents coups de reins.
Oui, je vais finir comme çà. Lui remplir les boyaux de mon sperme, jouir dans son petit cul.
Ma tête explosait, j'étais en train de jouir, un orgasme énorme, puissant, total. Je me laissais retomber sur son dos, à bout de souffle, au bout de mon
plaisir.
Une soirée mémorable venait de se terminer.