Vendredi 16 janvier
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21:46
Il y a une semaine, je me balladais dans la capitale et, à la fin de la journée, je suis rentré chez moi en prenant le train. Avant de continuer, je vais me décrire
un peu. J'avais 22 ans à l'époque, chatain aux yeux verts, un sexe de 16cm par 6, pour 1m70 et 70kg. Je ne me considère pas comme une gravure de mode ni comme un laidron. Arrivé dans le wagon
pour me ramener chez moi, je prends une place et je m'aperçois qu'il n'y a quasiment plus personne, juste un gars de l'autre côté.
Au bout d'un moment, Il arrive vers moi et s'assoit en face de moi. Il entame la conversation et nous dérivons rapidement sur le sexe (j'ai toujours pas compris
comment on en est arrivé à parler de ça). Il me dit alors qu'il est bi et qu'il me trouve à son goût. Je le remercie et lui avoue que je n'ai que très peu de relations sexuelles avec un homme. Il
commence à me carresser la cuisse puis l'intérieur de celle-ci en me demandant si cela m'intéresserait de faire un petit extra ici dans le wagon. Je ressens une érection monter et celle-ci n'est
pas passé inaperçue pour mon interlocuteur. Il n'attends donc pas ma réponse et me masturbe à travers mon pantalon. Je me sens tellement excité que je ne fais rien pour le repousser, surtout que
ma dernière partie de jambes en l'air datait du mois dernier. Au bout de quelques minutes, il s'accroupit devant moi, rapprochant ainsi son visage de mon engin. Il me regarde droit dans les yeux
avec un regard de salope en chaleur et une langue qui passe sur ses lèvres tout en me sortant ma bite déjà bien dure. Il ne lui fallait pas plus pour prendre mon chibre en bouche et le sucer
comme si sa vie en dépendait. A ce moment-là, je me sentais partir dans l'excitation et je me suis mis à gémir de plaisir.
Tout d'un coup, il s'arrêta de me sucer et sortit une capote de son pantalon pour me l'enfiler. Il se redressa devant moi et enleva son pantalon et son slip,
dévoilant ainsi sa bite bien dure juste en face de mes yeux. J'étais comme hypnotisé par la situation et ma main s'enroula toute seule autour de son sexe pour le branler. Je tirais un peu sur
cette dernière pour la faire rapprocher de ma bouche et ainsi rendre la politesse. Il mit peu de temps à me jouir dans la bouche tout en gémissant de plaisir.
Ma queue avait entre temps un peu ramollie et il entreprit de la sucer à nouveau pour faire redurcir comme il se doit, ce qui ne prit pas longtemps. Cette fois-ci,
il se tourna directement et commença à s'empaler sur mon engin. Je sentais son anus serré s'élargir petit à petit face aux assauts de mon sexe. Il ne prit pas longtemps pour entrer entièrement en
lui et il fit de légers va et viens qui s'accélérèrent au fur et à mesure.
Au bout d'un moment, on s'est arrêtés net en voyant que l'on venait d'arriver à un arrêt du train. Les portes du wagon se sont ouvertes et nous avons vu monter deux
jeunes femmes qui discutaient entre elles. Les portes se sont refermées derrière elles et le train était reparti lorsqu'elles nous virent ainsi dans cette position. Nous étions tous les quatre
figés, moi avec ma bite encore dans le cul de mon amant, et les deux filles, debout en train de nous oberver. Curieusement, elles se sont installées sur les places à côté de nous, de l'autre côté
du couloir central et recommençaient leur conversation à moitié car elles continuaient à nous mater. Lui avait compris qu'elles voulaient voir un show et il a alors recommencé ses va et viens sur
mon membre. Pendant ce temps, je matais les deux demoiselles. Elles étaient habillées toutes les deux en jupe avec collants et une petite veste. L'une était européenne, brune, les yeux marrons,
l'autre était typée maghrébine. Je voyais que le spectacle était à leur goût car la brune a commencé à écarter les cuisses pour se carresser. Sa compagne comprenant que leur discussion ne pouvait
plus feindre se mit à se carresser aussi tout en nous matant.
Rapidement, nous nous rapprcohés des filles pour que tout le monde puisse carresser tout le monde. J'avais à un moment un sein dans la main gauche, une bouche sur
ma queue et un chibre dans la main droite. La maghrébine, qui me suçait, s'est enfounée ma bite dans sa chatte et a commencé à sucer l'autre mec. Pendant ce temps, la brune est venue sur moi pour
se faire bouffer la chatte. A ma grande surprise, j'ai découvert qu'elle était une femme fontaine. Son jus dégoulinait sur mon torse jusqu'à mon pubis. La maghrébine a alors arrêté de sucer le
gars pour qu'il se mette derrière elle et la prendre en double pénétration. C'était la première fois que j'en faisais une. Je sentais la bite de mon compère ramoner le cul de cette salope à
travers la fine couche de chair entre nos engins. Celle-ci n'était pas en reste et vint m'aider à faire à nouveau jouir la brune qui en redemandait.
Nous avons fini par exploser de plaisir presque tous les quatre en même temps, puis nous nous sommes rhabillés après nous être essuyés.
Je ne les ai plus jamais revus, mais rien quand vous racontant cette histoire, je sens ma bite supplier pour avoir un peu de plaisir.