Un jour, j’étais seul à la maison en train d’écouter un disque quand retentit la cloche de la porte d’entrée, c’était un ami prénommé Denis, il entra et nous
nous mîmes à discuter.
Il faut dire qu’à cette époque, Denis était pour moi une sorte d’idole il avait tout ce que je ne pouvais pas avoir, il était grand mince et était toujours entouré
de jolies filles alors que moi, jamais je n’avais pu en tenir une dans mes bras.
Il était justement en train de me raconter sa dernière coucherie « cette salope baise comme une vraie cochonne, plus je lui en mets, plus elle en veut, mais tu
aurais vu quand je l’ai enculée, elle était comme une vraie chienne, quel pied j’ai pris, c’est vraiment extra d’enculer, il faudra qu’un jour je le fasse à un mec pourvoir la différence entre un
cul mâle et un cul femelle, oui il faudra ».
Ces dernières paroles me laissèrent pantois, jamais Denis n’avait parlé de faire des expériences homosexuelles.
Il resta un moment silencieux, les yeux perdus dans la fumée de sa cigarette, puis soudain, sa main se posa sur mon genou et commença à la caresser, je retirai
vivement ma jambe tout en lui disant « Eh ça ne va pas ? »
– Si justement, très bien, je viens de penser à toi et je me suis dit que mon essai, c’est avec toi que je devrais le faire.
– Oui, et bien tu iras chercher ailleurs, car je ne suis pas pédé moi.
– C’est ce que tu dis, moi ce que je sais c’est que jamais tu as eu une gonzesse et que jamais tu n’en auras, alors je me suis dit que puisque tu ne baises pas
autant que tu te fasses baiser au moins tu prendras de plaisir et tout sera bien.
– Je t’ai déjà dit qu’il n’en était pas question.
– Mais pourquoi pas, je suis sur que tu serais une bonne femelle.
– Non, je ne veux pas et…
– Bon maintenant, ta gueule connard, je veux te baiser et je te baiserai que tu le veuilles ou non, je dirais à tes parents que tu n’arrêtes pas de me faire des
avances.
– Mais ce n’est pas vrai !
– Je le sais, mais ce sera ta parole contre la mienne, car en plus j’aurais des témoins, alors tu vois, tu sais ce qu’il te reste à faire.
– Tu es un monstre à inventer des choses pareilles, et je te le répète, je ne suis pas pédé…
– Eh bien tu le deviendras, d’ailleurs c’est inutile de discuter, j’ai pris ma décision ou je raconte à tes parents que tu as fait des avances à moi ainsi qu’à
certains de nos copains ou tu te laisses faire, réfléchis bien penses à la réaction de tes parents apprenant que leur fils est une tante je ne penses pas que tu préfères que je leur raconte
plutôt que me donner ton petit cul tout chaud.
– D’accord tu as gagné, avouais-je vaincu, mais si ça ne me plaît pas ?
– Eh bien dans ce cas, ce sera à toi de choisir ou nous restons copains ou nous ne nous parlons plus. Mais tu verras la première fois c’est comme pour les vierges,
ça fait un peu mal mais après c’est toi qui en redemanderas. Allez assez discutés, va te laver la raie et mets ce slip en revenant.
Il me tendit une culotte de femme et je partis dans la salle de bains la mort dans l’âme. En ressortant, je me sentais ridicule avec simplement ce slip de dentelle
pour tout vêtement. En arrivant dans le salon, je constatais que Denis n’y était plus, je pensais qu’il était parti m’ayant joué une farce et je poussais un gros soupir de soulagement, mais
j’entendis sa voix dans la chambre me disant « Ou vas-tu comme ça salope, tu crois qu’on baise dans le garage ou quoi ? Allez amènes tes miches par ici ».
J’entrai dans la pièce, il était allongé sur le lit, il me regarda avec un petit sourire et me dit « tournes-toi ». Je m’exécutai rouge de honte. » Très bien
me dit-il, tu as vraiment un beau cul, je vais bien te faire jouir petite salope, et
maintenant déshabille-moi ».
Je le dévêtis, quand j’ôtai son pantalon, je vis que son slip déjà bien tendu arborait une tâche humide annonciatrice, je le baissai et me retrouvai face à une
verge en érection, son sexe faisait le double du mien. Denis me prit par la nuque et colla ses lèvres contre les miennes, nos dents s’entrechoquèrent, il me força à ouvrir la bouche et sa langue
caressa la mienne.
Je sentis une sensation inconnue prendre possession de moi, une vague de chaleur prenant naissance dans le bas de mes reins me submergea et je m’abandonnai à ce
baiser.
Il prit ma main et la posa sur son pénis érigé tandis que la sienne courrait sur mon dos, s’insinuant dans le sillon de mes fesses pour me masser l’anus, je ne pus
m’empêcher de frémir quand un doigt inquisiteur força ma rosette et je tendis mon fessier vers lui.
Quand Denis abandonna mes lèvres, j’avais les joues rouges et le souffle court. « Branle-moi me dit-il ».
Mes doigts enserrèrent son phallus et ma main se mit à aller et venir dessus lentement, tirant la peau pour le décalotter entièrement. Pendant ce temps, il
s’occupait toujours de mon cul, sous ses caresses expertes, je sentais mon sphincter s’ouvrir, ma respiration s’était accélérée.
Denis ôta ma main et guida ma tête jusqu’à son priape qu’il me força à emboucher, je faillis m’étrangler quand son bout durci heurta le fond de ma gorge, cette
verge avait une certaine odeur qui ne me déplaisait pas. Mon amant, la main toujours appuyée sur ma nuque rythma la cadence à laquelle il voulait être sucé.
Sentir cette chose chaude et palpitante contre ma langue me provoqua un trouble étrange, je posai mon autre main sur ses testicules poilus et entrepris de les
caresser tout en entourant sa bite de ma langue et en la mordillant, le bassin de Denis s’arqua pour s’offrir encore plus, sa main délaissa ma nuque et je sentis mon slip glisser le long de mes
cuisses tandis que ses paumes se posaient sur mon derrière brûlant.
Sous mes coups de langue, je sentais la queue grandir encore pendant que deux doigts allaient et venaient dans mon fondement, je planais littéralement.
A cet instant Denis arrêta ma fellation et me dit « Mets-toi à quatre pattes ».
J’obéis, il se positionna derrière moi et son gland vint se poster contre ma corolle, j’eus un mouvement de panique vu la grosseur de la chose mais mon homme me
maintenant solidement aux hanches commença à peser sur mon antre. Quand son bout durci écarta mes chairs, une douleur atroce m’envahit « Arrêtes, c’est trop gros, je ne peux pas,
tu me fais mal aie arrêtes aiee aaiiieeee !! »
Mais sourd à mes supplications, il continua de me pénétrer avec une lenteur calculée, j’eus l’impression que l’intromission dura une éternité et quand je sentis les
poils follets de son pubis contre mon postérieur, je sus qu’il était entièrement en moi, j’avais l’impression que mes fesses allaient se détacher et que mon cul allait se déchirer tant j’étais
écartelé.
Denis resta immobile me laissant m’habituer à sa monstrueuse présence, peu à peu la douleur diminua faisant place à un étrange bien-être, je sentis mon trou se
détendre, c’est alors que mon mec commença à me limer lentement.
Au bout de quelques instants de ce traitement, mon cul s’ouvrit totalement et je me mis à gémir sous les coups de boutoir que mon amant m’assénaient, mon corps ne
m’appartenait plus, sans que je m’en rende compte, je me mis à rouler des hanches en cadence, laissant échapper des râles de plaisir chaque fois que la pine se plantait au tréfonds de moi, il me
possédait à une vitesse folle et j’avais du mal à garder mon équilibre tant ses coups de reins étaient violents, son ventre plat claquait sur mes fesses en feu, je me sentis partir, j’avais
atteint le point de non-retour et je me mis à délirer « aaaaaaaaaahh ouuiii
aaaaaaaaaahh c’eessstttt boonnn aaaahhhhh ahhhhhhhhhhhhhhhh
oooooooooohhhh noonnn aaaaahhhh aahhh enncccoooorrrrreeeeee ahhhhh
ooooohhh oouuuiiii aaaaahhh plluuussss ahhhh foorrrtttt ahhhhhhhhh
aaaaahhhhh plluuussss viittteeee aaaaaahhhhhhh ooouuuuiiiii ohhhhh
oooooohhh tuu mee tuueeessss aaaaaaaaahhhhh
oooouuuuuiiiiii taahhh quueeeuuuueeeee ahhhhhhhhhh
ooooouuuuuuiiiiiii oooooooohhhhh taapppeeee ooohhhhhhh
taapppeeee aaaaahhhh taapppee plluuussss foorrrtttt ahhhhhhhhh
j’aaiiimmmmeeeee çaahhh oooooooooooooohhhhhhhh
oooooouuuuiiiiiiii nnnnooonnnnn oooooooooooooohhhhhhhhhhhhhh
oooouuuuuiiiiiiiii jee ahhh joouuuiiiisssss ahhhhhhhhh
jjeee jjooouuuuiiiiissssss aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhh
oooouuuiiiiiiiiiii aaaaaaaaaahhhhhhhhhh
viieeennnnsssss ahhhhhhhhhhhhh vviiieeeennnnnssssss aaaahhh
vvviiiieeeeennnnnnsssssss aaaaaaaaaaaaahhhhhh
oooooooouuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhh
C’est à cet instant que s’enfonçant au plus profond de moi, Denis éjacula en feulant, ses puissants jets de sperme fusant contre mes parois surchauffées me
déclenchèrent un spasme foudroyant, mon corps s’arqua et un hurlement de plaisir pulsa de ma bouche « aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh » puis je tombai lourdement sur la couche
entraînant dans ma chute celui qui me montait, je le sentis se retirer et je restai allongé sur le ventre flottant dans l’univers cotonneux de la jouissance savourant le merveilleux moment qui
venait de se passer.
Quand je rouvris les yeux, Denis allongé à mes côtés me regardait en fumant, il me dit « Alors, c’était bon ?
– Oh oui, c’est toi qui avait raison, je suis fait pour être une femme, ce fut merveilleux, tu m’as donné un plaisir intense et tu sais j’ai encore envie que tu me
baises.
– Ne t’inquiètes pas, moi non plus je n’ai pas eu mon compte mais avant ça il va falloir que je fasse ton éducation, car c’est normal, tu es débutant, tu dois
apprendre à bien sucer, bien caresser, faire naître le désir chez un homme. En fait, bien faire l’amour, mais tu as de très bonnes dispositions pour ça car tu as un cul fantastique et une bouche
à pipes.
– Je te remercie mais une grande partie du mérite te revient car c’est ta bite qui m’a fait prendre un pied pareil.
– Ne dis pas ça une autre pine t’en donnera autant si le gars sait s’en servir.
– Mais, je ne veux pas d’un autre gars, c’est toi que je veux je ne me vois pas faire l’amour avec un autre que toi.
– C’est pourtant ce qui va se produire.
– Non, il n’en est pas question et…
– Ecoute, petite pédale, tu ne peux pas choisir car notre petite séance de tout à l’heure a été enregistrée, alors je te vois mal refuser car là encore plus
qu’avant, j’ai des preuves, tu aurais peut-être faire admettre que jamais tu n’avais fait d’avances à qui que ce soit, mais là sur le film, on te voit bien en train de
te faire casser le cul et on entend bien le fade que tu prends à te faire défoncer la raie, avoues que tu aurais du mal à faire croire que tu n’étais pas
consentant.
– Je vois que tout ceci n’était qu’une machination…
– Très juste ma choutte, maintenant tu m’appartiens, tu es ma propriété, tu vas gagner de l’argent pour ton homme avec ton joli petit cul, je connais des gens que
tu intéresseras déjà demain je t’ai prévu un super bon week-end en amoureux avec trois de mes amis, qui auront bien de la chance car ils vont pouvoir t’utiliser gratis car je leur dois du fric tu
seras mon remboursement, tu vois j’ai tout prévu et fais attention à toi, si tu dis quelque chose à qui que ce soit tu connais les risques : la cassette, et si tu fais mal ton travail même chose.
O.K ?
– Je crois que je n’ai pas le choix, le seul avantage c’est que j’aime ça, donc autant me faire plaisir.
– Voilà qui est très bien parlé, tu vois que tout s’arrange tu aimes te faire enculer, moi je t’offre les bites pour ça. Allez
maintenant viens, je veux que cette fois-ci tu me suces à fond, car maintenant que tu n’es plus une pucelle effarouchée du cul, il faut que tu prennes une giclée de
foutre dans la gueule et que tu la boives ».
Je me penchai sur son phallus et me mis à le pomper consciencieusement, au bout d’un quart d’heure de ce traitement, Denis juta en râlant, je reçus son flot de
sperme au fond de la gorge et je l’avalai avec délice. Sa liqueur avait un petit goût salé qui n’était pas déplaisant.
Nous fîmes encore l’amour pendant trois heures et quand Denis m’abandonna en me donnant rendez-vous le lendemain à 8 heures, j’étais littéralement épuisé, le cul
complètement éclaté mais comblé.
oeuvres érotiques gay sur Instant Charnel