J'étais directeur d'un groupement d'architectes. 7 personnes à mon service : un mec et 6 nanas.
Mon prédécesseur, 38 ans s'était fait virer pour incompétence et baise à outrance avec la standardiste alors qu'il avait été embauché juste après son mariage. Il
s'était fait surprendre à plusieurs reprises, le cul à l'air, dans son bureau, en train de tringler la nana par derrière ou par devant ou en train de lui juter sur la gueule à la fin d'une pipe.
Les archi ne sont pas des saints, loin de là, mais comme le mec avait essayé avec les autres secrétaires, ça ne pouvait plus durer.
J'ai pris tout de suite l'attitude contraire, courtois mais distant, précis et emmerdant au boulot, réunions, de travail et tout et tout.
J'ai pourtant vite su que la secrétaire juridique, qui avait tout fait pour faire virer mon prédécesseur, était loin d'être une sainte nitouche. 25 ans, bien
balancée, beau cul, bouche pulpeuse, yeux verts, longs cheveux châtain clair, de bonne famille par ailleurs et super diplômée, aimait la bite. Mais pas avec les employés, avec les archi membres
du conseil. Je l'ai surprise en train de tailler une pipe à un collègue, un petit blond, lui aussi récemment marié et je l'ai vu embrasser dans un coin de bureau un autre collègue, un bel étalon
qui lui faisait tenir un instrument magnifique entre ses cuisses.
J'ai appris aussi qu'elle avait beaucoup participé à l'éducation de son jeune frère, qui se destinait à entrer dans les ordres. Il a respecté sa vocation,
d'ailleurs et s'occupe des jeunes postulants dans l'institution religieuse où il a été admis. En tant que maître des novices, il leur explique en détail et avec des exemples ce qu'est le pêché de
la chair.
Bref, c'était mon premier congrès qui se déroulait à Paris et durait 3 jours. La secrétaire juridique était présente et apportait son soutien aux architectes
désemparés : petit blond, bel étalon, et autres. Je l'ai même vue sortir des pissotières de la salle des congrès en s'essuyant la bouche et le visage. couverts d'une substance blanchâtres qui ne
pouvait être que du foutre. Les deux mecs que j'ai vu en allant pisser avaient encore leur queue à la main et recommençaient à se branler en disant "putain, quelle salope".
Le soir après le dîner de gala où le président avait eu la géniale idée de clôturer par une séance de striptease, deux nanas bien roulées, ma foi, qui avaient fait
monter sur scène trois archi et s'étaient frottés contre eux (les salaud n'avaient pas cachés leur trique) et où quatre énergumènes s'étaient foutus à poil et se branlaient dans les coupes à
champagne au grand dam du président, je décidais d'aller faire un petit tour en ville. Je me retrouvais place Pigalle. Envie de pisser, une tasse, un beau brun me met la main à la bite, je le
suit. Enculade vite fait dans une porte cochère. Je rentre à l'hôtel. Dernier jour de congrès. Retour en train de nuit, wagon lit à deux couchettes.
Le contrôleur me dit :" Vous allez à Avignon, j'ai modifié l'occupation de la seconde couchette, j'ai mis avec vous un anglais qui s'arrête là bas. Si vous avez
besoin de quoi que ce soit, boissons, cigarettes venez me voir, je suis dans le compartiment à côté". "Merci OK" . Je commence à m'installer, j'avais pris un bouquin de cul pour m'endormir, et je
vois arriver l'anglais. Putain, un petit dieu : 1,80m, épaules carrées, imberbe, moulé dans un jean et un débardeur, cheveux châtain clair, gueule d'ange bouche pulpeuse, yeux bleus
intense.
"Hello". Il pose son sac, quitte son froc et son tee-shirt : seulement un calcif moulant. Il s'allonge sur sa couchette. Je lis ou presque et le regarde, il est
tourné vers moi. Je suis en jean et torse à poil, j'ai repoussé le drap, il fait chaud. Je bande et me caresse à travers le string. Je me lève, enfile mon froc et vais chercher un drink. Je
reviens, j'en bois une gorgée et en propose à mon voisin. Il boit à son tour. Je finis le verre, le jette, je regarde mon voisin et pose ma main sur la sienne. Il ne bronche pas, je fais glisser
ma main, le long de son bras, descend jusqu'à son ventre, il ferme les yeux, je mets mes doigts dans la fente de son calcif, il a de grosse couilles et une petite bite. Il ouvre les yeux, me
regarde intensément, fait glisser son bras hors de la couchette et descend jusqu'à ma braguette. Je quitte mon falzar, ma bite pointe dans le string, je la sors et la lui mets dans la main. Il la
resserre et commence à me branler. Je lui quitte son calcif et commence à le téter. Sa bite ne s'allonge pas, 8cm maxi mais grossit avec un gland bien dégagé et déjà humide. Je monte sur sa
couchette, il écarte les cuisses, je fourrage dans les poils de son pubis, ils sont doux. A part ça il est imberbe. Je lui lèche les yeux, les oreilles, le nez, il gémit, j'insère ma langue entre
ses lèvres humides, je rencontre la sienne qui cherche la mienne, je gémis aussi. Ma bite est dure contre son ventre, je lui ouvre la bouche et fais couler de la salive, on s'embrasse comme des
salauds.
Je descends sur son ventre avec ma langue, embouche sa petite queue, puis ses couilles très grosses, l'une après l'autre, il relève les cuisses, il a un adorable
petit trou sans poil, je le lèche l'humecte le pénètre avec ma langue, avec moi doigt.
On est trop à l'étroit, je le fais descendre, il est on ne peut plus docile, il est debout, moi à genoux, je lui bouffe la bite, le cul, l'embrasse et le fait plier
à genoux. Je me relève et lui fourre mon gland entre les lèvres et tire un grand coup jusqu'au fond de la gorge. Il gémit mais il parait aimer ça. Je lui fais tourner le dos, j'empoigne ses
cheveux, il courbe la tête et relève le cul. Je fourre ma figure entre ses deux magnifiques fesses de petit garçon, je lui bouffe la rondelle et n'en pouvant plus, enfonce mon gland humide qu'il
a déjà léché, puis ma queue toute entière dans son fion. Putain que c'est bon. Il gémit puis écarte lui même ses fesses pour que je rentre jusqu'au fond, après la première barrière. Je lui fais
sucer mes doigts. Je vais et viens en lui claquant le cul...
Putain je vais jouir, je jouis, salaud, enculé, petite pute, je sors ma bite pour lui arroser le dos et la raie du cul. Il gémit. Je lèche mon foutre sur son dos,
le retourne et lui roule une pelle juteuse, il frotte sa petite bite contre mon ventre, je me baisse, il ne faut que quelques va et vient pour que son foutre m'éclate dans la bouche, sur la
gueule.
Il gueule de plaisir. Je lui met la main sur la bouche, il la lèche, je me relève et partage son foutre avec lui. Il éclate de rire, me serre contre lui, m'embrasse
de partout "it's the first, it's the first oh God, it's good, very good".
Je ris moi aussi, on est trempés de sueur, je m'essuie un peu, enfile mon string et vais chez le contrôleur pour chercher un second drink afin de fêter ça.
Je rentre sans frapper. Le mec est debout, froc aux pieds, la trique à la main, il se paluche. Belle trique d'ailleurs, le mec à 30 à peine. "Putain salaud, je vous
ai entendus contre la cloison, je suis même venu vous voir et j'ai entrouvert grâce à mon passe. Qu'est, ce que tu lui a mis. Putain moi aussi j'ai envie d'un cul." Je lui propose le mien car les
exercices avec mon voisin de compartiment m'ont échauffé l'esprit et une bonne bite dans le cul me ferait le plus grand bien. Je baisse mon string, il s'enduit la bite de salive, il me bouffe le
cul et m'enfourre sans crier gare. Je gémis un peu, mais c'est bon. A peine une minute, il était échauffé, "putain je vais jouir", je me retire, m'agenouille et ouvre la bouche, il gicle au fond
de ma gorge, sur ma gueule.
Je remonte mon string, lui roule une pelle, et lui pique deux drinks. Je les ramènes à mon pote, il rit en voyant ma gueule pleine de foutre, m'embrasse et on
s'envoie le godet.
On est bientôt arrivés, le lui fais sa toilette, il fait la mienne, nouvelle pipe, nouvelle branlette. On s'habille. Il veut me donner sa photo, je lui explique que
je suis marié et que j'ai 2 enfants. Il me serait difficile de justifier de la possession de la gueule d'un mec de (environ 20 ans mais paraissant moins).
Je lui roule une nouvelle pelle.
Le contrôleur passe devant la porte de notre compartiment ouverte, il est en tenue, il me met quand même la main au cul.
Le train s'arrête, on descend.
Je rejoins ma voiture et rentre chez moi.
"Le congrès s'est bien passé?"
"Très bien ma chérie, je t'en parlerai ce soir".
(Pas de tout, bien sûr).
Un bon hétéro doit pouvoir goûter à tous les plaisirs, des couilles chaudes dans la paume de la main, une bite longue, palpitante qu'on caresse et qu'on empoigne,
un cul musclé qu'on caresse ou qu'on empoigne, un jus épais et parfumé qu'on déguste sur sa langue, qu'on fait rouler dans sa bouche....
Je baise les meufs, je suis hétéros, mais... Je kiffe grave !
uncle and nephew - XVIDEOS
je me lance, je suis hétéro mais je suis tres curieux j'ai des envies gay
j'aime regarder les cul des mecs balancer dans des jeans moulés
coucou
eh oui y a un début
je vais pas t'encourager mais a toi de voir