Je travaille dans une grande boutique de sport dans un grand centre commercial de l’ouest de Paris, et je vais vous raconter une aventure que j’ai eue avec un
client.
Ce mec débarque un midi, clairement en pause déjeuner. À son accoutrement, je devine qu’il travaille dans les tours au-dessus. Il doit avoir 35 ans, il mesure
1,85m, il est brun, avec une barbe joliment taillée, les cheveux coupés courts avec une pointe de gel. Il a la peau très mate, il doit être issu d’un métissage entre les civilisations
méditerranéennes. Il porte un costume, et des chaussures de ville, classique pour le quartier. Il est plutôt beau mec. Je ne me gêne absolument pas pour le mater de loin, espérant secrètement
qu’il s’approche de moi pour que je puisse mieux l’observer.
Il traîne au rayon de l’équipement de tennis. Je le vois essayer plusieurs raquettes. Je le vois regarder les pancartes en l’air et se diriger vers le rayon des
vêtements. C’est là que je suis, c’est ma chance.
Bonjour monsieur, je peux vous aider ?
Bonjour, euh, oui… Je cherche un polo et un short pour faire du tennis.
Vous êtes au bon endroit, ha ha. Pardon, c’était pas drôle. Donc vous faîtes quelle taille ? Vous avez un large torse, je dirais L, je me trompe ?
Non, non, me dit-il avec un sourire gêné, si je prends du M, ça devient un peu moulant…
Je comprends bien. Écoutez, je vous propose d’essayer… celui-là, tiens, et éventuellement celui-là, ce sont des Lacoste, réputés pour leur longévité. Les cabines
sont juste là.
Merci !
Qu’est-ce qu’il était beau putain ! Pourquoi j’ai pas insisté ? Quelques minutes plus tard j’entends quelqu’un qui m’appelle. C’était ce même mec. Il s’était
déplacé jusqu’à moi.
Excusez-moi, qu’est-ce que vous en pensez, pas trop moulant alors ? Je me sens légèrement à l’étroit, là.
Mais monsieur vous avez gardé votre pantalon de ville, vous avez l’air un peu… Enfin c’est bizarre ! Vous voulez pas mettre un short avec ? Sinon, je dirais que ça
moule « comme il faut », quoi. Ça… vous met en valeur.
Il sourit et décroche un short à sa taille. Il retourne dans la cabine, mais cette fois je le suis. Il ne prend pas la peine de fermer la porte derrière lui. Je lui
fais remarquer mais il hausse les épaules. Je ne me gêne pas pour le dévisager. Il déboucle sa ceinture, déboutonne son pantalon et l’abaisse. Il est en boxer et me laisse voir ses jambes
extrêmement poilues et musclées. Je hausse les sourcils en souriant. Il me regarde et sourit à son tour. Il enfile le short et le remonte à ses fesses.
Et là, pas trop moulant ?
Encore une fois, c’est une question d’appréciation personnelle. Est-ce que vous pouvez marcher ? Cela semble quand même très serré.
En effet, tout son paquet était mis en avant. Cela devait être inconfortable au possible.
Cela dit, on peut dire que vos atouts sont clairement exposés.
Que voulez-vous dire ?
Et bien, votre poitrine, vos bras, vos fesses, votre… équipement, ça laisse peu à l’imagination, quoi !
Ah oui ? Je devrais peut-être prendre les tailles au-dessus ?
Je suis partagé, c’est quand même très agréable de vous voir comme ça… Désolé, je devrais pas vous dire ça, ce n’est absolument pas professionnel. Choisissez ce qui
vous convient, monsieur. Et pardonnez-moi encore mon écart.
Non, vous avez l’air de savoir ce qui compte, je prends tous les avis. Bon, je vais quand même changer de polo. Par contre je suis coincé, vous pensez pouvoir
m’aider à le retirer ?
Avec plaisir.
J’entre dans la cabine et me place devant lui avec un grand sourire. Il fait une tête de plus que moi et le double de volume, mais il ne m’intimide pas. Il me
regarde de haut avec un sourire en coin lui aussi. Je place mes mains au niveau de ses hanches pour attraper le tissu du polo. Là, il lève ses bras et je tire vers le haut pour le faire passer
au-dessus de sa tête. Il se laisse totalement faire. J’ai mis à jour son corps couleur ambre et sa musculature. Il avait un torse prononcé et couvert de poils noirs. Ses épaules étaient carrées,
tout comme ses abdominaux. Je me pince les lèvres alors que mon cœur bat de plus en plus vite. Je le regarde intensément, mais ne sais pas quoi faire. Soudain, je baisse la tête. Je vois la bosse
de son short qui a grandi. Je jette un œil à l’extérieur, personne. Je ferme la porte de la cabine.
Comme je vous disais, ce short vous met en valeur, par exemple, là, je ne peux me retenir de vouloir vous l’arracher sur-le-champ. Et je vois que mes flatteries
vous ont atteint. Vous m’avez l’air excité, peut-être puis-je y remédier ?
Ah oui ? Et comment comptez-vous faire ?
Je plaque ma main sur son paquet. Il sursaute légèrement en soupirant. Je me mets à genoux et lui baisse le short. Sa queue est déjà complètement tendue. Elle doit
bien mesurer 22 cm, le bougre. Je la décalotte un peu et je vois son gland marron. Je la mets en bouche sans attendre, j’en ai trop envie, là, maintenant. J’essaye de le gober complètement mais
je n’y parviens pas. Je le suce lentement, mais efficacement, jouant de ma langue pour le rendre fou. Il place ses mains sur les deux parois, comme pour s’empêcher de vaciller. Je lui fais signe
avec mon doigt de faire moins de bruit pour ne pas se faire griller. Il prend son pied comme jamais.
C’est la première fois… que je me fais sucer par… un mec… putain c’est trop bon !
C’est la première fois que je suce un client dans une cabine d’essayage.
Il me faut mes deux mains pour tenir sa bite en place tellement elle est grande. Il prend ma tête et se force en moi, prenant le contrôle des choses, j’aime ça chez
un homme. Il prend quand même soin de ne pas non plus m’étouffer, mais un peu de domination ne tue personne. Je me laisse entièrement faire par ce mec qui a clairement de plus en plus envie de
moi.
J’ai envie que tu me baises, là, j’en n’ai jamais vu une aussi grosse, mais je veux que tu me prennes.
T’es sûr ? On va pas nous entendre ? Tu risques de gueuler si tu prends trop ton pied.
Je tenterai de me retenir, mais je peux rien promettre, t’as vu la taille de ta bite ? Manquerait plus que tu sois un super bon coup !
Ça, ça sera à toi d’en juger. En tous cas, tu es un super suceur, d’ailleurs on va s’arrêter parce que je vais jouir si tu continues !
Laisse-moi au moins lubrifier ta queue.
Je crache abondamment sur son sexe espérant ainsi faciliter son entrée en moi. Je me redresse et caresse son torse.
Putain que t’es beau… j’ai trop envie de toi.
Moi aussi, ma bite est raide à cause de toi, j’ai envie de te défoncer maintenant. J’espère que t’es prêt, je suis pas un doux.
Toujours prêt pour me faire prendre, vas-y, donne-moi tout.
Oh crois-moi je vais tout te donner.
Il me pousse contre la paroi, me retire le bas de mon uniforme et lève une de mes jambes. Il crache à son tour dans sa main et m’étale sa salive contre mon trou, et
un peu à l’intérieur. Son gland suit et s’immisce dans mon intimité.
Oh putain, on m’a jamais pris comme ça, par « devant », oh mon dieu, rentre en moi, allez.
Il pousse lentement et je le sens s’enfoncer, centimètre après centimètre. Il arrive au bout et je suis dans ses bras musclés, son visage contre le mien, son corps
contre le mien, son énorme sexe dans mon anus dilaté au maximum et vibrant d’excitation. Il me donne un brusque coup de hanche. Je ne l’avais pas vu venir. Puis un deuxième, puis il accélère et
garde ce rythme effréné. Je me fais troncher par ce mâle qui a choisi de se vider les bourses en moi, juste parce que j’ai su le flatter comme il fallait. J’étais pas mal fier de moi, en fait. Je
me suis déjà fait niquer par pas mal d’hétéros, mais là c’est une première. Qu’il est doué en plus. Sa queue uniformément large et son gland fuselé se frayent un chemin dans mes entrailles. Je me
sens complètement sous son emprise, je suis à lui, le temps de notre coït. Mon anus sert de réceptacle à son excitation démente et je l’accepte. Je suis accroché à son cou et il commence à
transpirer. Soudain il me porte et place mes cuisses de part et d’autre de son bassin. Encore une première. Il me soulève avec aisance, grâce à ses bras forts et me pénètre d’autant plus
profondément. Je vois des étoiles tellement il s’y prend bien. Il y va fort, il va loin, avec des coups de hanches à l’allure d’une mitraillette.
Oh continue, c’est trop bon, vous les hétéros vous savez y aller sans retenue, je te sens en moi, vas plus loin encore, oh oui
Je vais faire de la bouillie de ton trou du cul, je t’ai dit que j’y allais pas de main morte. Je vais te montrer ce que je sais faire.
À ma grande surprise, il augmenta encore la cadence, je ne savais que c’était possible. Je suis attaché à son cou, comme pour ne pas tomber. Je sens qu’il va jouir.
J’ai la tête qui tourne.
Oh oui défonce-moi, jouis en moi, balance-moi ta purée de mâle dans mon cul.
Je vais te remplir comme il faut, oh, je viens, sens mon sperme monter en toi et prends tout
Oui, vide-toi entièrement dans mon trou !
Je le sens se retenir de hurler pendant son éjaculation qui ma foi a l’air puissante, puisque je sens chacun des jets au fond de mon trou du cul. Il n’avait
toujours pas fini de me donner des coups de reins. J’ai l’impression d’avoir été inséminé par un taureau sauvage. C’est un peu ce qu’il s’est passé en y repensant. Il se retire de mon cul et me
dépose au sol. Avant que son sperme ne puisse s’écouler de mon trou usé, il vient placer trois doigts pour me branler le cul huilé de sa propre semence alors que j’essaye de me faire jouir à mon
tour. Il ne faut pas beaucoup de temps et je me vide sur le sol de la cabine. Par chance, nous n’avons rien souillé autour de nous, à part cette flaque de sperme chaud. Nous nous rhabillons en
silence. Je jette un œil dehors, toujours personne. Nous sortons discrètement et nous enfuyons chacun de notre côté. J’étais un peu déçu qu’il s’enfuie de la sorte. Il devait avoir honte.
Je suis parti dans les toilettes me nettoyer, en espérant le revoir… Entre temps, je ne me suis pas assis de la journée. Le soir à la fermeture, il revient, dans
une nouvelle tenue. Il me raconte qu’il avait eu besoin de se doucher dans les vestiaires de sa tour. Il m’a promis qu’on se reverrait, mais pas ici, et m’a laissé son numéro de téléphone.