SOFT-HISTOIRE-SPORTIF SEXY-ÉROTIQUE-BIO

Mercredi 25 mars 3 25 /03 /Mars 22:58
Par TOMA - Publié dans : SOFT-HISTOIRE-SPORTIF SEXY-ÉROTIQUE-BIO - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
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Mercredi 25 mars 3 25 /03 /Mars 22:56
Par TOMA - Publié dans : SOFT-HISTOIRE-SPORTIF SEXY-ÉROTIQUE-BIO - Communauté : SEXE ACTUEL
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Mardi 24 mars 2 24 /03 /Mars 21:50
Totalement hétéro ou pas?

Voici une nouvelle histoire vécue bien excitante. 
A cette époque, j’avais 27 ans et dans la ville où je vivais, je me rendais régulièrement dans une discothèque hétéro. Mais où les homos y étaient bien accueillis, (voir Mon petit rugbyman). Hétéros, rugbymans homophobes, gays et lesbiennes, tout ce petit monde se croisé sans trop de problème.
Moi, les insultes homophobes, me laissaient de glace. Et mes réponses aux « sale pédé ! » étaient, « sale non, pédé oui ! », mais je ne souhaitais pas non plus provoquer ces mecs totalement hétéros.
Cette nuit là, au moment où la discothèque ferme, je me dirige vers la sortie, il n’y a presque plus personne. Puis, au dehors, un des rugbymans que j’avais vu à l’intérieur, m’accoste un peu vivement : 
- tu vas où comme ça ?
Étonné, je lui dis :
- je rentre chez moi.
- a pied ?
Je le trouve bien curieux mais je lui réplique :
- oui, je n’habite pas très loin.
- et tu y vas seul ?
De plus en plus surpris, je réponds un peu excédé :
- oui pourquoi ?
Là, il regarde autour de nous, se rassure que l’on est seuls, se rapproche et me dit :
- je peux venir chez toi ?
Maintenant, la situation est claire, il veut venir chez moi et espère sûrement me baiser. Il n’est pas mal physiquement et à l’air sérieux, donc j’accepte, et il me dit :
- pars devant, je te suis de loin, je ne veux pas qu’on nous voie ensemble.
Donc, je prends la direction de mon petit studio de l’époque. Pendant le chemin je me retourne plusieurs fois pour m’assurer qu’il me suit. 
Je dois avouer que mon corps commence à réagir. Ma bite commence déjà à se dresser dans mon boxer et je sens mon anus qui se dilate, sûr de se faire élargir. Même si je suis actif et passif, je pense que cet hétéro veut s’offrir mon petit cul.
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Arrivé chez moi, aussitôt la porte refermer, il se jette sur moi et colle ses lèvres sur les miennes. Sa langue force l’entrée et rentre profondément dans ma bouche pour me rouler une pelle, bien trop baveuse à mon goût. Il continu, tout en se collant de plus en plus à moi. Je commence à être très à l’étroit dans mon jean et boxer. Ma bite, au garde à vous, a atteint sa grosseur maximale. Je sens contre ma jambe la queue toute dure de mon rugbyman. Je décide d’en découvrit un peu plus. Je me met à genoux et baisse son pantalon. Il ne porte pas de dessous et son sexe apparaît bien droit devant mes yeux. Et là… Déception, la taille de sa bite n’est pas à la hauteur de mes espérances. Je suis même vexé, mon cul mérite beaucoup mieux !
Je me décide tout de même à la sucer. Ma bouche coulisse habilement sur ce morceau de chair bandé à l’extrême. Elle est tellement raide et rouge vif, que j’ai l’impression qu’elle va éclatée. Lui, en extase devant mon savoir faire, pousse des gémissements si aigus, qu’il ressemble à ceux d’une femme. 
Puis il me relève de ses bras musclés et se met à me déshabiller. Je lui fais la même chose et je découvre un corps superbement taillé, pas trop musclé juste comme j‘aime. La beauté de son corps me console de la petite taille de sa queue.
Nus, debout, l’un face à l’autre, on se caresse mutuellement. Son torse est admirablement bien dessiné. Je prends beaucoup de plaisir à y promener mes mains. Il semble beaucoup apprécier ma dextérité.
Lui, ne reste pas inactif, il me câline très agréablement avec ses mains sur tout le corps, puis il prend ma queue pour me branler. La délicatesse de ses caresses me surprend d’un homme aussi baraqué et viril que lui
Je descends bien vite mes mains, de son dos à son derrière. Je rencontre une paire de fesses à damner un Saint. Je m’attarde à cet endroit, tandis que mes doigts se faufilent entre les deux lobes de son cul, pour effleurer l’endroit défendu. Il se cambre en arrière, son regard change et devient ardent. Ce garçon si macho aimerait donc qu’on lui titille l’anus ?
Mais, il met fin à mes intrusions, se met à genoux devant moi et siffle d’admiration devant ma queue en s’exclament :
- tu as une teub superbe !
Assez fier, je ne fais que répondre :
- merci.
Puis, il approche son visage de ma tige, ouvre largement ses lèvres et m’inflige une pipe formidable, tant par son intensité que par sa douceur. Il s’y prend avec tellement d’habileté, de délicatesses mélangées, que je me demande si c’est la première pipe qu’il fait. Je me laisse aller à cette satisfaction qu’il me procure merveilleusement avec sa bouche et sa langue. 
D’un coup, il stop sa fellation, il se relève et en me regardant avec un regard fébrile, me demande :
- tu as des préservatifs ?
Je vois qu’il veut passer aux choses sérieuses.
- oui, j’ai tout ce qu’il faut.
A ma grande surprise, il se dirige vers mon lit, se couche sur le ventre et d’une voix ferme me dit :
- vient me baiser !
Un peu déconcerté, mais ravi, je ne perds pas une minute. Je sort un préservatif de ma table de nuit et l’enfile très vite. Lui, il se cambre et écarte ses fesses avec ses larges mains. Je distingue son anus gonflé de désir. Je saisi une dose de gel, lubrifie abondamment ma queue, qui commence à me fait mal tellement elle est dure. J’enduis son entre fesse du reste du gel, ce qui le fait pousser un râle de plaisir mêler d’envie. Puis j’approche ma queue de son trou, je place délicatement mon gland à l’entrer et pousse pour pénétrer son canal brûlant. L’opération se montre plus compliquée que je croyais. Il est très serré et je dois y mette toute ma force pour pouvoir enfoncer mon gourdin dans son conduit. Je me concentre et lui dit :
- détend toi, donne toi, respire fort.
Il souffle très fort, et petit à petit je sens son anus s’ouvrir sous l’effet de ma pression. Enfin, je sens mon gland élargir le contour de son anus. Alors que ma bite rentre dans ce cul qui me semble vierge, il pousse un cri de douleur ou de jouissance. J’arrête ma progression de peur de l’avoir fait souffrir. Je lui demande :
- je t’ai fait mal ?
D’une voix étranglé et étouffé il répond :
- non, c’est bon ça va ! Mais c’est la première fois que je reçois une bite. D’autres choses sont déjà passer par là, mais c’était pas aussi gros.
Je reste ébahi de ce qu’il vient de m’avouer; Il veut à présent une vraie bite dans le cul. Mais est-ce vraiment la première fois ???
- tu veux que je continu ?
- oui va s’y, mais doucement.
Je reprends la progression avec beaucoup de patience et sans heurt.
Après plusieurs minutes, je glisse entièrement en lui. Et tandis que ma large queue est enserrée tout au fond de son cul, on pousse tout deux, des soupirs d’extase et de bonheur, comme une délivrance.
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Je commence alors de lents va et vient, qui s’accélèrent progressivement tandis que nos cris de bonheur vont crescendo.
Mes mouvements sont bientôt accompagnés par ses fesses qui remuent en cadences.
La jouissance monte en puissance rapidement. Et, après bien vingt minutes de limage intensif, le plaisir atteint son paroxysme quand je me mets à crier tout mon contentement, tandis que mon sexe crache énormément de jus dans le préservatif. Chose surprenante, mon rugbyman est pris de violentes secousses et pousse de longs gémissements de satisfaction ressemblant étrangement à des plaintes.
L’ardeur tombe d’un coup, accompagné du silence de nos deux corps. On reste quelques minutes sans bouger, rassasiés de sexe. Je reprends peu à peu mes esprits, me « sépare » de lui et me lève. Il se relève et je vois qu’il a maculé son torse et mon lit d’une quantité impressionnante de sperme. 
Gêné, il baisse la tête tel un enfant qui a fait une bêtise, puis me dit : 
- désolé, excuse moi d’avoir sali tes draps. 
Je lui réponds :
- après le plaisir que tu m’as procuré, tu es totalement pardonné.
On s’essuie avec du papier absorbant (quelle belle invention), puis il se rhabille.
Et avant de partir, comble de la situation, il m’embrasse goulûment, puis prend fermement ma tête ente ses mains et me dit d’une voix menaçante :
- tu n’as pas intérêt de raconter ce qui s’est passé, sinon …
Je le coupe et rétorque vivement :
- sinon tu me casses la gueule, c’est ça !
Surpris il ne répond rien, et je lui dis :
- ne t’inquiète pas tes copains n’en sauront rien et tu resteras pour eux l’hétéro macho que tu es.
- hé ! Ne dis pas ça !
Pour éviter que j’en dise plus, il m’embrasse longuement une dernière fois et me quitte, en me lançant un :
- ciao !
Je l’ai revu plusieurs fois dans la discothèque avec ses copains rugbymans, mais malgré quelques regards furtifs, il ne s’est jamais rien passé de plus, dommage.
Par contre, véridique, j’ai baisé avec deux autres rugbymans après lui. 
Un qui m’a sauté trivialement et qui est parti comme il était venu, c’est-à-dire très vite, sans grand plaisir pour moi. Un autre, avec qui ça était beaucoup mieux. Un point commun aux rugbymans, c’est la promesse que je dois leur faire, après avoir baisé, est de ne surtout rien raconter à personne. Mais à vous je peux tout raconter.

Seithan / Lu sur http://www.histoires-de-sexe.net
Par TOMA - Publié dans : SOFT-HISTOIRE-SPORTIF SEXY-ÉROTIQUE-BIO - Communauté : SEXE ACTUEL
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Mardi 24 mars 2 24 /03 /Mars 21:45
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Lundi 23 mars 1 23 /03 /Mars 22:48

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Les fruits et légumes n'ont pas d'âmes ? Ils manquent de saveurs ? Faut-il jouer avec la nourriture ? Bon, oublions ces préjugés et passons à l'action. Regardons autour de nous : dans la corbeille à fruits ou au frigo (oups ! mais il fait si chaud...) attend une banane que nous vous conseillons de laisser telle quelle mais d'habiller d'un préservatif enduit d'un peu de lubrifiant. Si vous trouvez sa texture trop molle, rattrapez-vous en courant au champ pour y décrocher un joyeux épi de maïs. Chaparder peut conduire à l'extase ! Déshabillé, l'épi se pare d'or et sa texture crénelée recouverte d'un préservatif réservera bien des surprises. Retour au bac à légumes : la petite courgette fait la nique au concombre agressif (ou le vilain radis noir). Cette cucurbitacée adaptée aux jeux de mains saura bien attendre la ratatouille quand elle se glissera entre vos cuisses. Pour les garçons en mal de plaisirs espagnols, nous recommandons la cousine de la divine courgette, la bonne grosse pastèque à la surface de laquelle vous confectionnerez un trou pour y glisser votre... doigt ! C'est chaud ou froid, léché c'est sucré et ça appelle d'autres visites plus intimes. Soyez donc proche de Mother Gode Nature ! - A lire aujourd'hui sur le Mag sexe, le Best of sexy geek : la sélection estivale des 10 qadgets sexy ou jouets coquins

Par Magnolia http://fluctuat.premiere.fr/

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Dimanche 22 mars 7 22 /03 /Mars 23:00
Par TOMA - Publié dans : SOFT-HISTOIRE-SPORTIF SEXY-ÉROTIQUE-BIO - Communauté : SEXE ACTUEL
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Vendredi 20 mars 5 20 /03 /Mars 22:07
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Jeudi 19 mars 4 19 /03 /Mars 23:25
Cette histoire c'est passée lors de ma première année de fac. M'étant pris en retard pour trouver un logement, je n'ai trouvé qu'une colocation à cinq avec quatre autres mecs que je ne connaissais pas.
Après plusieurs semaines nous commencions à nous connaître un peu mieux...
Un soir je vais dans la cuisine voir si celle-ci est libre que je puisse préparer mon dîner.
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Un de mes colocs, Arthur, était déjà là. Il venait probablement de sortir de la douche vu qu'il ne portait qu'une serviette. Je lui dis que je vais attendre qu'il est fini de cuisiner et il me répond qu'il n'en a que pour quelques minutes, je reste donc discuter avec lui en attendant. Il me demande comment c'est la fac, comment ça va niveau fille... (Je ne lui avais pas encore parlé de ma sexualité ambiguë) Et je lui dis que pour lui ça doit être facile avec les filles, vu son beau torse musclé, ses tablettes de chocolat bien dessinées... Il me répond "Oh les filles, c'est bien mais on en fait vite le tour..." Serait-ce une ouverture ? Je lui réponds "Entre mecs y'a aussi moyen de s'amuser c'est vrai.
-Ah oui ?! T'as déjà essayé aussi ?
-Humm oui, répondis-je gêné."
Il laisse alors tomber sa serviette le coquin... Ouah qu'elle est belle sa bite, entièrement rasée. Je m'empresse d'y faire glisser ma main et je la sens se rallonger dans ma main. J'en avais jamais vu d'aussi belle (et pourtant j'en ai vu pas mal), elle est très longue (22 cm m'a-t-il dit) et toute fine, son gland est a peine plus gros que mon pouce, en plus de ça elle est très lisse. Je descends mon pantalon et branle nos deux bites simultanément d'une seule main, la mienne de 13 cm, grosse, poilue et veineuse (donc plutôt rugueuse) parait ridicule à côté de la sienne.
Je me penche pour la prendre en bouche et je n'arrive même pas a enfoncer la moitié dans ma bouche, je lui agrippe ses fesses pour tenter d'aller plus loin. Elles sont elle aussi très belles et musclées, toutes épilées et lisses. je le suce avec vigueur pendant de longues minutes. Sa viande commence à sentir le bruler dans tout l'appart' ce qui alerte l'un de nos coloc'. Il vient vers la cuisine quand il nous voit dans cette position il reste bouche bée. Je devine une bosse dans son pantalon. Arthur me demande d'arrêter de le sucer gêné par cette surprise. Je refuse, c'est trop bon... L'autre coloc ne tarde pas à rejoindre sa chambre ce qui nous permet de continuer tranquillement. On retire sa viande du feu puis il se met à me sucer à son tour, je m'assois sur le bord de la table tellement la sensation est bonne. Ma queue bien que petite est large, ce qui ne l'empêche pas de la rentrer entièrement dans sa bouche. Il commence alors à me sucer les couilles, ce que j'adore, il arrive à prendre les deux en même temps dans sa bouche... Quelle bouche ! Il commence ensuite à me titiller l'anus avec le bout de sa langue. Il me doigte avec un doigt, puis deux, trois, quatre, il rajoute le pouce... mon cul est écarté comme rarement. J'aime ça, mais j'ai un peu peur de ne rien sentir lorsque sa longue perche va me pénétrer. Voila ce moment tant attendu qui arrive. Sans capote il commence à entrer son gland sans difficultés. Les quelques centimètres de queue suivant ne me font toujours rien, puis un moment, je ressens un plaisir intense... Le même plaisir que mon dépucelage. Sa pine avait atteint des contrées inexplorées à ce jour. Les vas-et-viens s'enchainent à une vitesse folle, il parvient à m'enfoncer toute sa queue dans l'anus, ses petites couilles clapotent sur mes fesses... Oh !!! Je jouie à gros bouillon sur mon torse, tellement je jouie fort qu'une goutte vient même jusqu'a mon menton. Arthur passe son doigt dessus et la lèche. Il ne s'arrête pas et continue jusqu'à jouir au plus profond de moi. Sa langue vient alors lécher mon sperme refroidis sur mon corps. Un petit baisé et il file à la salle de bain se débarbouiller...
Le lendemain alors que je pensais être seul à cette heure avancée de la journée, je décide de me branler devant un petit film qui me rappelait la scène de la veille... Quelqu'un frappe à ma porte, mais je porte un casque pour éviter que l'on sache ce que je regarde tout en profitant de chaque bruit du film. Celui qui frappait entre donc voyant que je ne réponds pas. C'est Arthur qui voulait savoir ce que j'avais pensé de la veille... Me voyant dans cette situation, il comprend vite que je n'en avais pas eu assez. Il vient me sucer alors que je suis allongé sur mon lit entièrement nu. Il ferme la porte et se déshabille à son tour. Il est à quatre pattes par-terre, j'imagine alors qu'il pourrait me baiser dans cette position, comme un chien soumis ce qui m'excite énormément... J'aime être une salope parfois. Je lui tends mon cul afin qu'il me prépare à me faire poutrer. Il s'arrête à mes couilles je lui demande ce qui ne va pas. Il me répond "C'est à mon tour cette fois."
Le coquin a vu mon plaisir la veille et veut sa part… C'est normal après tout. Je commence donc à lécher son petit cul bien ferme. Son anus est très serré, il semble que cette petite étoile n'est jamais été ouverte. Je lui demande donc s'il a déjà essayé. Il me répond que non mais qu'il en meurt d'envie. On se met dans une position des plus acrobatiques : Je le porte pour qu'il me suce debout et je lui prépare la rondelle. Mes coups de langues ne semblent pas suffisants pour le dilater, il va donc falloir passer à ma manière forte. Je prends mon lubrifiant dans ma table de nuit et lui en met un peu dessus. Je glisse un doigt entre ses petites fesses sveltes et musclées et ils poussent déjà de petits cris de douleurs. 
Après plusieurs minutes dans cette position inconfortable il se remet à quatre pattes et me suce les couilles pendant que j'enfile une capote huilée pour lui faire moins mal. Il me tend ses fesses lisses et je commence… Mon gland à beaucoup de mal a entré, la route est si étroite. Je réussi enfin. A voir les yeux brillants de mon coloc' je comprends que le passage est douloureux. Je commence donc par de petits vas-et viens lents. La douleur laisse place à un plaisir si intense qu'Arthur s'allonge à terre. Il écarte bien les cuisses ce qui facilite le passage de ma bite frétillante. Je la ressort. Son anus est maintenant bien écarté, et au vu des contractions qu'il fait, il semble qu'il n'est pas eu assez. Je re pénètre donc dans son intimité ce qui le fait jouir sur le sol. Après quelques instants je sens que mon tour arrive. Je me retire de son anus et lui tend ma queue.
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Malgré que j'ai enlevé la capote il semble intimidé par cet organe qui lui a procuré tant de plaisir et est passé dans des endroits tellement intime. Il la prend donc timidement en main, puis lèche mon gland du bout de sa langue ce qui me fait jouir sur sa gueule d'ange. Je remarque qu'il se doigte l'anus pendant ce temps. Nous n'étions qu'au mois d'octobre, l'année ne faisait que commencer.
La semaine suivante nous avons recommencé à deux reprises. Petit à petit nous prenions toutes nos douches ensemble, les queues entre les jambes (mais pas les nôtres). Nos petites séances intimes se sont succédées tout au long de l'année, son petit cul serré était devenu un gouffre à bite.
Par TOMA - Publié dans : SOFT-HISTOIRE-SPORTIF SEXY-ÉROTIQUE-BIO - Communauté : SEXE ACTUEL
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Jeudi 19 mars 4 19 /03 /Mars 14:38
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Jeudi 19 mars 4 19 /03 /Mars 14:36
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