ChikChic

Salut à tous, Ceci m’est arrivé il y a 7 ans, j’avais 22 piges a l’époque, on dinais entre potes gays dans un petit resto. Il était au milieu de rien de tout, c’est par l’intermédiaire d’un des amis que nous nous rendîmes à cet endroit car il connaissait la femme du patron. Il y avait notre table ainsi que trois autres remplies, le resto était un peu vide en raison de l’heure (22h je crois) , et sur l’une des table, il y avait un groupe de 4 gars : un blanc, un black et deux rebeux. Nous faisions attention à ce que nous disions, car bon, même si nous ne faisons pas folle, nous somme facilement identifiable en temps que gay, donc bon, nous faisions attention . Le repas, puis la soirée s’éternise un peu, l’endroit se vide, il ne reste plus que notre table et celle des lascars, à cette époque, on pouvait encore fumer à table et tout mes potes fumaient, sauf moi, que la fumée commençait a encommoder. je décide simplement d’aller faire un tour dans le jardin avant que la migraine m’envahisse (alcool + cig. il ne m’en faut pas plus). La fraicheur de la nuit est bénéfique, je profite de ce moment pour respirer et faire quelques pas , le jardin attelant le restaurant était assez grand, avec quelques arbres lourds et sombres. Soudain, je sens une présence derriere moi, sur le coup, j’avoue que ça m’a fait sursauter, c’était un jeune beur, présent a la table d’à coté. Il devait être le Benjamin, la vingtaine, pas plus.
Il me lance : – je t’ai foutu la trouille ? Je réponds : – t’es arrivé sans bruit, j’ai juste été surpris. ce moment là, il me sourit, et je dois dire qu’il ne m’en faut pas plus pour me troubler tant je découvre charmant. Il me dit : – d’habitude je préfère que l’on vienne derrière moi. Sur le coup je ne pige pas trop, ou du moins je capte le sous entendu, mais ne sait pas trop si c’est du second degré pour se foutre du fait que je soit gay… Et ce qu’il dira ensuite ne va pas trop me rassurer non plus  : –  vous êtes des pédés ? Et merdeeeeeuh … – écoute je suis venu ici pour passer une bonne soirée et je veux pas d’embrouilles ! – moi non plus j’te demande c’est tout ! – bien oui ok, maintenant tu sais, alors tranquille! Et soudain, il me prend le bras et m’emmène a quelques pas dans un recoin un peu plus sombre… Je suis resté paralysé par la peur, très effrayé, il a dû se rendre compte que j’était complètement crispé et il me dit : – Pas de malaise t’inquiète, je ne veux pas te faire de mal – c’est sûr ça ? – oui, on se cache et si tu veux me sucer… Des fois , j’ai des sortis que je regrette ensuite, je ne sais pas pourquoi, mais a ce moment là, surement pour faire ma princesse ou je ne sais quoi, j’ai bêtement balancé : – non je ne suce pas ! – ok si tu veux pas je suce moi ! Hein ??? Sérieux ? lol Difficile a croire, j’admet, mais c’est réel : il se fout a genou devant moi, me déboutonne le jean, le baisse à mes cuisses, écarte mon slip… ma queue surgit et il la gobe, et après 10 secondes, je la sent qui gonfle dans sa bouche. Mon esprit se vide complètement, il me fait un bien fout, il s’y prend vachement bien en lâchant le gland pour un avalant goulûment ma tige jusqu’a la base. Mon érection au top (j’ai une teub épaisse), il s’arrête quelques secondes et me dit : – elle est super ta teub Et il recommence a me pomper de plus belle. Discrètement je gémis sur ces coup de langue et lorsqu’il gobe mon sexe jusqu’à sa gorge, ça me fait trop kiffer. Après 3 ou 5 minutes de suçage, il se relève. Bon, je comprend où il veut en venir, et je lui doit bien de lui faire la pareil … Mais en fait non, il me dit : – j’ai envie de ta grosse bite dans mon cul. Euh sérieux ? Le pire qu’il t’arrive à ce moment là, c’est de penser « merde, les capotes ! » , j’en ai dans le sac, mais il faut les chercher, croiser tout le monde etc… Un peu la flemme sur le moment, mais mon excitation rattrape le tout, donc je lui explique que j’en ai et qu’il me faut juste les récupérer. Il est ok, il me demande juste de faire vite et d’être très discret.
Pas d’incident, les potes étaient pris dans leurs délires, je sais qu’ils m’ont demandé ce que je faisait, mais sans trop insister, je me souviens plus ce que j’avais prétexté , surement que j’avais besoin d’aller aux chiottes… Donc je reviens, avec un bonus mes petites doses de gel. Il baisse son pantalon, je vois sa teub bien dure, pas très grande mais aussi épaisse que la mienne. Je me suis fait déjà baisé par des beurs très bien montés, sur le moment, je me dis que comme quoi, il faut pas généraliser. Il cambre son cul, appuyé sur un arbre , un beau cul, bien rebondi, et vachement musclé . Il passe sa main entre ses fesses pour se lubrifier le cul et pendant ce temps là j’enfile ma capote tout en la lubrifiant, je ne lésine pas sur la dose, pas envie d’y repasser par 4 fois (j’était chaud comme la braise) . Je commence a rentrer un centimètre, je sens qu’il bloque, donc je reste statique, et ensuite c’est lui qui contrôle en reculant doucement son derrière, en ravançant, puis il recule d’un coup sec, ça y est, je suis en lui !   Il est super chaud, il lançait des saloperies style « baise moi » ou « fais moi le cul » , « vas y » … Ces mots crus m’excitaient encore , je le limais sans m’arrêter sur ses encouragements. Je branlais sa queue circoncise avec ma main droite , on devenait super proche dans cette baise torride, ce moment où tu sens une complicité sexuelle au top.  Lui : – « putain » je vais juter ! – vas’y oui ! http://38.media.tumblr.com/tumblr_ltxreqzEt71r5dx5to1_500.gif J’accelere la cadence, je le déboite literrallement pour faire monter le jus, et lui gicle dans son cul virulent en essayant d’étouffer mes cris de bete en rut. Le sperme se répand sur le bout de la capote et après quelques secondes je sens sa queue se remplir et j’arrive a voir ses jets de foutre qui maculent le tronc de l’arbre.  http://38.media.tumblr.com/tumblr_mabs091Ips1qjzwvbo2_500.gif
On reste sans bouger quelques instants, essoufflés, et essayent de redescendre … Je lui file un mouchoir , il s’essuie, moi aussi, et on se rhabille, sans rien dire, mais avec un petit sourire au lèvre. Il me dit d’attendre un peu pour rentrer dans le restaurant, et se donne un genre en me disant de surtout rien dire sinon ça se passerait mal pour moi… j’acquiesce avec une promesse, même si son petit jeu bad boy me fait sourire. Après un moment, je rejoint mes potes dans le restaurant qui ne se sont rendu compte de rien de ses dernières 10 minutes. Aujourd’hui, je viens de trahir ma promesse :)  Saitek
Mer 28 sep 2016 Aucun commentaire