ChikChic
Moi c'est Max, j'ai 24 ans et je bosse comme mécano dans un garage depuis 2 ans,1m85, très brun, bonne bebar fournie, bien musclé grâce à pas mal de sport, actif
avec un bon 23cm bien épais dans le fut. Un soir vers 19h j'étais seul à bosser, les autres déjà partis je profitais du calme pour bosser tranquille. Je portais un marcel blanc bien moulant et un
bleu de travail, un peu dégeu, dont j'avais baissé le haut jusqu’à ma taille histoire d'être à l'aise et qui laissé apparaitre le haut de mon CK. J'étais en train de ranger des outils quand un
mec arriva, je l'avais déjà vu quelques jours avant, un rebeu, la 20aine, pas mal foutu, sapé genre lascar: tn, survet et casquette, il m'aborde _" hey mec elle est prête ma caisse !? _Ca dépend
c'est laquelle? _la rouge au fond" Ouais une veille caisse genre Peugeot 205, je lui explique que non pour le moment on est blindés de taff donc on la prendra quand on aura fini avec celles
arrivées avant. _Elle sera prête quand? Jsais pas, une semaine peut-être _Ha non mais c'est trop long j'en ai besoin putain! Là jvois bien qu'il est embêté, Vas-y on peut peut-être s'arranger!?"
Il commence à me proposer de la thune mais je refuse je veux pas me faire acheter non plus! _"vas-y et du cul mec ça te branche?"
OK là il marque un point, je ne serais pas contre me faire vider les burnes. Il a bien vu que j'avais bloqué, s'approche, et me roule une bonne pelle, putain c'est bon, il vire mon marcel et commencer à tâter mon torse bien barak, il passe sa langue dans ma nuque, sous mes bras, sur mes pecs bien bombés, s’attardant bien sur mes tétons pointés. Il descend le long de mes abdos et se retrouve à genoux devant moi, tire sur mon bleu qui se retrouve direct au sol, il se retrouvait devant mon braquemard bien raide et serré dans mon calbut déformé. Je le vois qui fixe ma queue avec un air satisfait et lâche « _Putain ouais ça c’est du gros matos ! _Ouais minot je ne te le fais pas dire ! Mais là je veux que tu pompes ! » J’ai posé ma main sur son crâne et il a compris ce que je voulais…Il a commencé par lécher ma tige de haut en bas à travers le tissu qui s’humidifiait, à un moment il a collé sa bouche contre mon gland et s’est mis à suçoter. Putain le pied ! Là j’ai viré mon calbut, les pris par les cheveux et je l’ai copieusement bifflé, les poils de sa barbe caressaient mon gland, c’était pas mal ! _Allez vas-y suce moi maintenant ! Tranquille il avale ma queue, du gland à la garde tranquille, le mec vient juste de s’enfiler un 23x7 tranquillou.
Bon ok ça sent la pratique, on va pouvoir bien s’amuser…Je lui tiens la tête et commence un lent mouvement de va et vient, lent qui se transforme peu à peu en brutal, je lui baise sa bonne gueule de rebeu à grand coup de rein, mon gland pistonnant de ses lèvres à sa glotte. N’empêche qu’il s’y prend bien, je sens bien sa langue contre ma queue, ses lèvres m’enserre et je peux aller aussi loin que je peux, qui est assez rare et j’avoue je kiffe grave. A un moment je le lâche, je veux voir ce qu’il sait faire. Je le relève et lui fait prendre appuie contre le capot de la caisse à côté de nous (un grosse BM blanche évidemment… ;) ) je suis derrière lui, tire le bas de son survet, découvrant un bon cul musclé, bien bombé et surtout bien poilu, comme je les kiffe ! Je le pousse un peu plus sur le capot, m’agenouille devant son fion et passe ma langue le long de sa raie, un peu plus profond à chaque passage. Arrivé à sa rondelle j’écarte son cul pour lui travailler, lui léchant avidement le trou de bout de la langue, ou au contraire avec une langue à plat, lentement. Je l’entends qui gémit à chaque fois que ma langue touche sa rondelle qui s’assouplit. Je tente un doigt qui n’a aucun mal à rentrer dans les tréfonds du salop, je tente un deuxième qui ne rencontre toujours pas de résistance, et même un troisième qui commence à racler les parois et un quatrième qui a eu du mal à rentrer. Je pense qu’il est prêt…Je chope une capote qui trainait dans mon bleu (faut toujours avoir des capotes sur soi !) la déroule sur ma grosse masse bien raide et pose mon gland sur son trou que je commence à écarter avec mon gland, ma lope commence déjà à gémir, sa rondelle s’écarte au fur et à mesure que j’enfonce mon chibre épais dans son fion et ce jusqu’à ce que mes burnes tapent son cul. Une fois bien dedans je m’immobilise, histoire qu’il s’habitue, je me sens bien en lui, bien serré aussi. Je sentais mon lascar se détendre, je commence un petit mouvement lent et j’accélère doucement, j’y vais de plus en plus fort et lui gémit de plus en plus fort. Je le tiens fermement dans la taille et le bourre sec, j’y vais à fond j’ai qu’une envie c’est de le démonter, qu’il arrive plus à marcher, que son cul se souvienne de ma queue. Je sors d’un coup laissant son trou ouvert, béant, j’en profite pour reprendre un peu de souffle, lui ses esprits. Je le retourne sur le dos, il est en sueur, les poils de son torse contre sa peau, une grimace de plaisir sur son visage de rebeu quand je lui replante mon vier dans le cul, reprenant le rythme de tout à l’heure, avec une main il m’attira vers lui, me roula une pelle pendant que je le bourrais. Trop bon ! Il prend sa queue en main, commence à s’astiquer et pas moins de 30 secondes plus tard arrose copieusement son torse de jute épaisse, 5 bons jets avec spasmes et gémissent, et toujours ma queue dans son cul. Je décule, vire la capote et lui présente ma queue qu’il turlute comme un pro, pas 2 minutes après je lui tapisse la gorge de jus, dont il ne perdit pas une goutte… Après lui avoir filé un chiffon pour s’essuyer, il se ressape et se barre en me disant qu’il repassera demain pour voir sa caisse. Tiens il marche bizarre, au passage…
OK là il marque un point, je ne serais pas contre me faire vider les burnes. Il a bien vu que j'avais bloqué, s'approche, et me roule une bonne pelle, putain c'est bon, il vire mon marcel et commencer à tâter mon torse bien barak, il passe sa langue dans ma nuque, sous mes bras, sur mes pecs bien bombés, s’attardant bien sur mes tétons pointés. Il descend le long de mes abdos et se retrouve à genoux devant moi, tire sur mon bleu qui se retrouve direct au sol, il se retrouvait devant mon braquemard bien raide et serré dans mon calbut déformé. Je le vois qui fixe ma queue avec un air satisfait et lâche « _Putain ouais ça c’est du gros matos ! _Ouais minot je ne te le fais pas dire ! Mais là je veux que tu pompes ! » J’ai posé ma main sur son crâne et il a compris ce que je voulais…Il a commencé par lécher ma tige de haut en bas à travers le tissu qui s’humidifiait, à un moment il a collé sa bouche contre mon gland et s’est mis à suçoter. Putain le pied ! Là j’ai viré mon calbut, les pris par les cheveux et je l’ai copieusement bifflé, les poils de sa barbe caressaient mon gland, c’était pas mal ! _Allez vas-y suce moi maintenant ! Tranquille il avale ma queue, du gland à la garde tranquille, le mec vient juste de s’enfiler un 23x7 tranquillou.
Bon ok ça sent la pratique, on va pouvoir bien s’amuser…Je lui tiens la tête et commence un lent mouvement de va et vient, lent qui se transforme peu à peu en brutal, je lui baise sa bonne gueule de rebeu à grand coup de rein, mon gland pistonnant de ses lèvres à sa glotte. N’empêche qu’il s’y prend bien, je sens bien sa langue contre ma queue, ses lèvres m’enserre et je peux aller aussi loin que je peux, qui est assez rare et j’avoue je kiffe grave. A un moment je le lâche, je veux voir ce qu’il sait faire. Je le relève et lui fait prendre appuie contre le capot de la caisse à côté de nous (un grosse BM blanche évidemment… ;) ) je suis derrière lui, tire le bas de son survet, découvrant un bon cul musclé, bien bombé et surtout bien poilu, comme je les kiffe ! Je le pousse un peu plus sur le capot, m’agenouille devant son fion et passe ma langue le long de sa raie, un peu plus profond à chaque passage. Arrivé à sa rondelle j’écarte son cul pour lui travailler, lui léchant avidement le trou de bout de la langue, ou au contraire avec une langue à plat, lentement. Je l’entends qui gémit à chaque fois que ma langue touche sa rondelle qui s’assouplit. Je tente un doigt qui n’a aucun mal à rentrer dans les tréfonds du salop, je tente un deuxième qui ne rencontre toujours pas de résistance, et même un troisième qui commence à racler les parois et un quatrième qui a eu du mal à rentrer. Je pense qu’il est prêt…Je chope une capote qui trainait dans mon bleu (faut toujours avoir des capotes sur soi !) la déroule sur ma grosse masse bien raide et pose mon gland sur son trou que je commence à écarter avec mon gland, ma lope commence déjà à gémir, sa rondelle s’écarte au fur et à mesure que j’enfonce mon chibre épais dans son fion et ce jusqu’à ce que mes burnes tapent son cul. Une fois bien dedans je m’immobilise, histoire qu’il s’habitue, je me sens bien en lui, bien serré aussi. Je sentais mon lascar se détendre, je commence un petit mouvement lent et j’accélère doucement, j’y vais de plus en plus fort et lui gémit de plus en plus fort. Je le tiens fermement dans la taille et le bourre sec, j’y vais à fond j’ai qu’une envie c’est de le démonter, qu’il arrive plus à marcher, que son cul se souvienne de ma queue. Je sors d’un coup laissant son trou ouvert, béant, j’en profite pour reprendre un peu de souffle, lui ses esprits. Je le retourne sur le dos, il est en sueur, les poils de son torse contre sa peau, une grimace de plaisir sur son visage de rebeu quand je lui replante mon vier dans le cul, reprenant le rythme de tout à l’heure, avec une main il m’attira vers lui, me roula une pelle pendant que je le bourrais. Trop bon ! Il prend sa queue en main, commence à s’astiquer et pas moins de 30 secondes plus tard arrose copieusement son torse de jute épaisse, 5 bons jets avec spasmes et gémissent, et toujours ma queue dans son cul. Je décule, vire la capote et lui présente ma queue qu’il turlute comme un pro, pas 2 minutes après je lui tapisse la gorge de jus, dont il ne perdit pas une goutte… Après lui avoir filé un chiffon pour s’essuyer, il se ressape et se barre en me disant qu’il repassera demain pour voir sa caisse. Tiens il marche bizarre, au passage…
Jeu 12 nov 2015
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