Au château de Grosnœud, les domestiques sont en surnombre au regard des tâches à accomplir. L’oisiveté étant mère de tous vices, ils s’abandonnent aux pires débauches. Le palefrenier surprend la cuisinière en train de s’arracher une jouissance clandestine : sa verge roturière emplit derechef les joues de cette maritorne. Confondue à son tour par le jardinier alors qu’elle s’épanchait en d’abjectes convulsions onanistes, la gouvernante lui demande de soigner son bouton de rose. Après avoir montré main verte, il fouille son gazon puis fertilise sa poire. Dans l’aile ouest, la fille prend un cours de gym. Très complet, le cours s’achève par d’intenses flexions contractions du sphincter. Quant à notre châtelaine, elle profite de son ascendant pour abuser du cuistot, avant que le jardinier en état d’ébriété ne la fesse et ne l’encule en l’insultant. Ce n’est que justice sociale.